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Le Pervers Narcissique
Ce qu’il faut savoir pour reconnaître un trouble narcissique du comportement

Narcissique : Savoir le Reconnaître
Et si je vous disais qu’il y a une cinquantaine de traits qui permettent de reconnaître les personnes narcissiques, que me diriez-vous ?
Que vous aimeriez savoir lesquels ?
C’est justement ce que je vous propose de découvrir dans cet article…
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Voici la liste des 50 traits qui vous permettront d’identifier toutes les personnalités narcissiques
- Le narcissique considère les autres comme des objets dénués de sentiments
- Il n’éprouve aucune empathie ou estime pour son entourage – c’est le roi de la froideur émotionnelle qui reste indifférent aux désirs de l’autre
- Le narcissique est un manipulateur (manipulateur narcissique) qui utilise et exploite les autres à ses propres fins
- La personne narcissique n’a pas conscience de son comportement narcissique, elle ne se rend pas compte qu’elle néglige et fait souffrir son entourage
- La personnalité narcissique est égocentrique – elle se prend pour le centre du monde et cherche à être le centre de l’attention
- Le narcissique est égotiste, il ne pense qu’à lui et ramène toutes les discussions vers lui. Il ne s’intéresse absolument pas aux autres (sauf par stratégie)
- Le narcissique se vante de ses succès et exploits – il manque de modestie
- Le narcissique se comporte de façon méprisante, hautaine et arrogante vis-à-vis d’autrui
- Il a un sentiment de supériorité
- Il est persuadé qu’il est quelqu’un de spécial, exceptionnel ou unique
- Il aime paraître et s’attend à être admiré en permanence
- Le profil narcissique aime que l’on flatte son égo
- Sinon, il se sent « vide » lorsqu’il ne reçoit pas de louanges – un vide qui se traduit par de l’ennui, de l’apathie ou de la dépression
- Il est jaloux et envieux à l’égard des autres – et il pense que les autres l’envient
- Dans son comportement, le narcissique ne se remet jamais en question, il n’est jamais responsable, ce sont les autres personnes de son entourage !
- Dans la pathologie narcissique, on se fait beaucoup d’illusions
- L’individu narcissique sait tout mieux que tout le monde (un cauchemar si vous avez une mère narcissique !)
- Dans son travail, il outrepasse ses fonctions et manque de respect pour sa hiérarchie
- Le narcissique adopte des comportements grandioses
- L’être narcissique pense qu’il n’y a que les gens intelligents qui peuvent le comprendre
- Il pense que tout lui est dû, il s’attend à un traitement de faveur
- Il est auto-satisfait et ne collabore pas ou très difficilement avec d’autres personnes
- Le narcissique est sans scrupule
- Il n’a pas de remords et ne culpabilise pas
- Par contre, c’est relativement difficile de vivre avec un narcissique car lui va continuellement culpabiliser les autres
- Dans son profil, le narcissique est perfectionniste
- La personne narcissique souffre d’insatisfaction chronique
- Il veut tout contrôler
- Il est exigeant et intransigeant avec les autres
- Il pense beaucoup au succès et au pouvoir – l’homme narcissique cherche à être le leader et le maître incontesté !
- Il connaît souvent une belle réussite professionnelle
- On le retrouve souvent à des postes où il a un rôle dominant, dirige les autres et avec de grandes responsabilités (politique, chef d’entreprise, personnages célèbres,…)
- Le narcissique montre le profil de quelqu’un qui se sent au dessus des lois
- Il aime la compétition et recherche la performance
- Il aime relever des défis et prendre des risques
- Il ne supporte pas l’échec
- Qu’il s’agisse d’un homme ou d’une femme narcissique, les relations amoureuses se font principalement sur le mode de la méfiance et de la défiance (crainte d’être trompé)
- Le « narcisse » cherche souvent à accumuler les conquêtes mais évite tout attachement affectif
- Il ne supporte pas qu’on le critique et il se vexe facilement
- Par contre, lui va critiquer, rabaisser et dénigrer les autres
- Il n’aime que l’on ne soit pas de son avis
- Il se met facilement en colère (crises de colère ou de rage)
- Il prend ses enfants comme s’ils étaient une extension de lui-même
- Il peut maltraiter physiquement son entourage
- Il se sent facilement menacé, rejeté ou humilié
- Dans une famille narcissique, les gens ont tendance à se comparer souvent aux autres
- Le narcissique a tendance à maintenir une distance entre lui et les autres
- Pour lui, l’entourage n’est jamais “à la hauteur”
- Les personnes narcissiques n’ont généralement pas d’amis ou très peu…
- Enfin, elles vivent très mal le fait de perdre leurs capacités (dues à l’âge par exemple)
Vous vous demandez peut-être pourquoi les narcissiques se comportent de cette façon ?
La raison est toute simple : le narcissique manque d’estime de soi (blessure narcissique). Et cela, même si à certains moments, il peut « surestimer » ses qualités ou ses compétences et montrer alors une excès d’estime personnelle – ce qui lui fera faire des erreurs et connaître certains échecs cuisants !
Si vous avez affaire à une personne qui cumule la plupart de ces 50 traits, vous pourriez bien avoir affaire à un manipulateur pervers narcissique.
Maintenant, vous vous demandez peut-être…
☞ Et si j’avais une personnalité narcissique ?
Faites le Test Narcissique et Vérifiez si vous souffrez de narcissisme

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Les 10 règles à suivre pour avoir une communication assertive
Cela va peut-être vous surprendre, mais quand une personne ne s’affirme pas, c’est souvent parce qu’elle ne s’en donne pas le droit !
Par peur de déplaire, beaucoup de gens préfèrent s’oublier et faire passer les autres avant eux.
Pour sortir de ce conditionnement, il faut commencer par SE DONNER LE DROIT à l’affirmation de soi.
Dites-vous bien que vous êtes à 100% responsable de la manière dont vous vous affirmez !
Si vous devez communiquer avec des personnes « difficiles », il ne sert à rien de vous en plaindre ni de les accuser et encore moins de vouloir agir sur ces personnes (vouloir modifier leur personnalité).
☞ Vous n’avez aucun contrôle sur ces personnes. La seule chose sur laquelle vous avez un contrôle, c’est votre façon de vous affirmer…
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La Communication Assertive
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Voici les 10 règles à suivre pour être assertif dans votre communication:
Règle n°1 : Devenez une personne positive, charismatique et respectée.
Développez une image très positive de vous-même. Focalisez-vous sur vos points forts et tout ce qui fait de vous une personne de valeur aux yeux des autres. Prenez l’habitude de penser à vous et parler de vous en positif. Acquérez une personnalité charismatique.
☞ Voyez ces 5 conseils pour développer votre charisme et votre force intérieure.
☞ Découvrez les 7 caractéristiques de la personnalité charismatique.
☞ Découvrez les secrets de la pensée positive permanente.
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Règle n°2 : Sachez ce que vous voulez (et ce que vous ne voulez pas) et dites-le.
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Osez demander ce que vous désirez obtenir. Vous avez parfaitement le droit d’avoir des besoins et des désirs et demander qu’on les prennent en compte.
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Osez dire « non » quand vous n’avez pas envie de faire quelque chose.
Surtout, surtout, ne répondez jamais en fonction de « ce que les autres penseront de vous ».
- N’ayez pas peur de passer pour un égoïste.
- Ne vous sentez jamais obligé de dire oui « juste pour faire plaisir ».
Car c’est bien de vouloir plaire. Mais il ne faut pas avoir peur de déplaire, lorsque cela est nécessaire…
Lorsque vous êtes capable de dire « NON », vous constatez que les gens vous respectent davantage !
Vous constaterez aussi qu’en disant « non » plus souvent, vous allez éloigner de vous les personnes qui veulent profiter ou abuser de vous (comme les vampires énergétiques).
Alors qu’en disant « oui » tout le temps, vous les attirez vers vous, vous vous rabaissez et du même coup, vous faites baisser votre estime de vous…
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Règle n°3 : Fixez clairement vos limites.
Être assertif implique de prendre conscience et d’affirmer clairement ses propres limites.
Vous avez le droit de fixer vos propres limites sans vous sentir coupable ou égoïste.
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Règle n°4 : Vous avez le droit de ne pas vous justifier.
Vous êtes une personne assertive si vous êtes capable d’entendre des critiques et des accusations sans vouloir vous justifier absolument, ou contre-attaquer de façon impulsive.
Être assertif, c’est reformuler la critique, demander des précisions, puis dans un deuxième temps, choisir de reconnaître de ou réfuter les faits.
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Règle n°5 : Évitez le verbe « Être ».
Le verbe « Être » est une condamnation.
Lorsque vous vous affirmez avec le verbe « être », c’est comme si vous jetiez un mauvais sort…
« Tu es un menteur »
« Ce que tu peut être bête ! »
« Tu es encore pire que ton père »
« Tu es vraiment un bon à rien »
« Tu n’es vraiment pas très doué… »
« Tu es incapable de… »
« quel idiot je suis »
« J’en suis incapable »
« je ne suis pas à la hauteur »
« je suis maladroit… »
Que faire si une personne manipulatrice vous accuse « d’être » quelque chose… ?
L’assertivité vous recommande de lui répondre ceci :
« Qu’est-ce qui te fait dire cela ? »
Le comportement assertif vis-à-vis de soi-même consiste à reformuler les phrases de manière positive :
« Je suis intelligent »
« Je m’estime »
« Je sais que je suis quelqu’un de bien »
« Je suis capable d’agir »
« Je suis tout à fait prêt »
« Je sais que je peux tout réussir »
« Je suis positif et j’ai confiance en moi ! »
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Règle n°5 : Ne tombez pas dans le piège des comparateurs
Si certaines personnes vous comparent, affirmez-vous en tant que personne UNIQUE.
Regardez dans cette vidéo les 6 techniques pour échapper aux comparateurs.
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Règle n°6 : Exprimez vos opinions
La personne assertive sait qu’elle a le droit d’avoir et d’exprimer ses opinions et ses idées qui peuvent différer de celles des autres.
De la même façon, elle connaît ses droits et sait les faire respecter.
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Règle n°7 : Ne changez pas les autres
Le but de l’assertivité n’est pas de changer la personnalité de votre interlocuteur. De toute façon, vous n’y parviendrez pas et cela de vous rapporterait rien.
Par contre, en étant assertif, vous parviendrez à modifier l’attitude de l’autre personne vis-à-vis de vous !
Ceci est probablement une des clés les plus précieuses en matière de relations humaines : vous ne pouvez pas changer les autres personnes.
Vous pouvez amener une personne à se remettre en question mais jamais l’obliger à le faire contre son gré…
Vous ne devez en aucun cas essayer de modifier la personnalité de quelqu’un. C’est impossible.
Vous pouvez simplement modifier votre comportement, changer votre point de vue, relativiser ce qui peut l’être et attendre que les autres se comportent différemment vis-à-vis de vous. C’est vers ce but que vous devriez faire porter vos efforts.
L’empathie et l’écoute de l’autre vous aideront à être assertif.
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Règle n°8 : Vous avez le droit de faire des erreurs.
Si vous vous rendez facilement coupable, répétez-vous ces 3 petites phrases :
« J’ai le droit de faire une erreur. L’erreur est humaine. Je suis un être humain ».
La personne assertive ne culpabilise pas pour ses échecs. Elle considère les erreurs comme des moyens d’apprendre et de s’améliorer.
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Règle n°9 : Restez maître de vos émotions
Avant de vous laisser emporter par vos émotions (colère, énervement, impatience, anxiété,…), prenez du recul pour analyser la situation.
La maîtrise de soi est fondamentale pour conserver l’objectivité et développer une attitude assertive.
Portez votre attention sur les faits plutôt que sur vos sentiments.
Une personnalité assertive répondra toujours à la colère par la patience, au mépris par le respect, et à la méchanceté par la bienveillance.
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Règle n°10 : Pratiquez l’approche « gagnant-gagnant »
Le comportement assertif n’est pas celui où l’on s’oppose mais celui qui va permettre de trouver un terrain d’entente et créer des situations « gagnant-gagnant » en toutes circonstances.
Personne ne doit être lésé !
Du point de vue de l’analyse transactionnelle, il s’agit de la position idéale :
« je suis ok, tu es ok »
La stratégie qui consiste à créer un rapport de force et à vouloir gagner en faisant perdre les autres n’est absolument pas la bonne.
Cherchez toujours à produire une situation satisfaisante pour les deux parties. L’autre n’est pas un adversaire.
L’assertivité se trouve à mi-chemin entre la soumission et l’agression.
Le principe est de donner naissance à une interaction positive.
Enfin, rappelez-vous qu’une personne assertive ne cherche jamais à écraser l’autre ou à vouloir se venger…

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Voici pourquoi vous devriez faire preuve d’assertivité avec les personnes manipulatrices…
Il vous est certainement arrivé de vous dire après une discussion ou une dispute: « ce n’est pas ainsi que j’aurais dû réagir avec cette personne qui me manipule… ».
Il est certain que communiquer avec des manipulateurs n’est pas une chose facile. Par exemple, il est souvent difficile de garder son calme et ne pas s’énerver !
Vous en avez sans doute déjà fait l’expérience, n’es-ce-pas ?
Alors rassurez-vous, l’affirmation de soi et l’assertivité sont là pour vous aider à communiquer de façon plus efficace avec les manipulateurs, même le pervers narcissique !
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Faire Preuve d’Assertivité
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Commençons par un rappel de la définition de l’assertivité
On peut dire que vous faites preuve d’assertivité dans votre communication lorsque vous respectez ces 10 points :
- vous vous exprimez avec assurance, franchise et fermeté,
- vous n’êtes pas passif : vous ne vous soumettez pas, vous ne faites pas systématiquement passer les autres avant vous, vous n’abandonnez pas et vous ne prenez pas la fuite,
- vous vous affirmez sans chercher à dominer l’autre par la force,
- vous vous affirmez sans faire usage de manipulation mentale (chantage, culpabilisation, reproches, menaces, accusations,…)
- vous restez bien calme sans exprimer de la colère ou de l’agressivité,
- Vous n’avez pas peur d’exprimer vos opinions, vos besoins et vos sentiments,
- vous savez vous faire respecter tout en prenant le soin de respecter l’autre : vous n’êtes ni un paillasson ni un hérisson !
- vous savez défendre vos droits sans porter atteinte à ceux des autres,
- vous savez refuser et dire « non » quand il le faut, sans culpabiliser et sans vous excuser,
- vous vous affirmez toujours de façon positive et responsable et vous êtes capable d’accepter les critiques quand elles sont constructives…
Une personne assertive s’affirme toujours posément, calmement et fermement. Elle respecte l’autre et ne cherche jamais à se venger car elle a confiance en elle.
Je vous pose la question :
Êtes-vous une personne assertive ?
Pour le savoir, faites immédiatement le Test Assertivité.
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La communication assertive présente de nombreux avantages
D’une façon générale, on peut dire qu’être assertif permet d’accroître la qualité de nos relations.
En particulier, elle permet de sortir du cercle vicieux de la manipulation pour entrer dans le cercle vertueux de la compréhension mutuelle et réciproque.
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Voyons ce qui va se passer si vous adoptez un comportement assertif :
- L’assertivité va augmenter votre capacité à vous faire respecter par les autres. Vous ne vous laissez plus marcher sur les pieds !
- En vous affirmant de façon assertive, vous allez réduire les tensions et les malentendus. Vous évitez les conflits inutiles dans vos relations.
- Avec l’assertivité, vous osez fixer vos limites et dire « non » quand vous n’avez pas envie de faire quelque chose. Vous évitez de vous « sacrifier » pour les autres.
- Avec l’assertivité, vous osez demander. Vous évitez de rester frustré ou insatisfait.
- Les techniques d’assertivité vous aideront à vous défendre. Vous faites respecter vos droits bien plus facilement.
- Avec un comportement assertif, vous ne culpabilisez plus.
- Être assertif va réduire votre niveau de stress, d‘anxiété de frustrations (refoulements ou renfrognements) ce qui se traduira par une meilleure santé.
- L’assertivité vous aidera à prendre vos responsabilités et sortir de la situation de « victime » en adoptant une attitude positive et constructive.
- Être assertif va vous permettre de développer une bonne assurance personnelle et prendre confiance en vous.
- L’attitude assertive a pour effet de « déstabiliser » les personnes toxiques et manipulatrices. Vous constaterez qu’ils se montrent nettement plus respectueux à votre égard.
Vous voulez couper court aux jeux des personnes manipulatrices ?
☞ Découvrez Comment Développer un Comportement Assertif (10 Règles à Suivre)

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« J’ai mis beaucoup de temps à m’apercevoir que ma mère est une perverse narcissique »
Dans ce nouveau témoignage (à lire ci-dessous), Vincent nous explique le rôle destructeur qu’a joué sa mère perverse narcissique sur lui et son entourage, les conséquences irréversibles, ses peurs et comment il s’y est pris pour aller mieux et se sortir de son emprise.
Voici le témoignage (avril 2018) :
« Bonjour,
Merci pour cet article.
Homme de 37 ans, j’ai mis beaucoup de temps à m’apercevoir que ma mère est une perverse narcissique. Je suis issu d’une famille de 9 enfants. Il m’a fallu plusieurs séances de psychothérapie pour m’en apercevoir car le manipulateur a cet art de se défiler face à ce qu’il fait et à « enfumer » les autres quand on le met face à ses responsabilités. Cet auto-dédouanement ou cette fuite (tactique de l’anguille du manipulateur) provoque du déni chez les personnes qui en sont victimes, déni dont mes frères et sœurs sont toujours atteints, même si certains commencent à avoir une certaine lucidité.
Comme mon père était violent et atteint de paranoïa (mais pas pervers narcissique), je ne voyais pas pendant longtemps le problème chez ma mère, la prenant pour une victime (ce qu’elle voulait paraître d’ailleurs, accusant toujours mon père du mal réel qu’il lui faisait) à être restée dans ces conditions avec mon père pendant plus de 20 ans, pour appliquer la règle de l’indissolubilité du mariage catholique. Il est de fait que mon père maltraitait ses enfants par ses crises insupportables de paranoïa et de critiques continuelles très dures envers les personnes qu’il estimait l’avoir offensé (dont certains de ses enfants pouvaient faire partie). Le catholicisme traditionaliste mêlé à cette maladie a rendu les choses encore plus pénibles. Car mes parents se sont servi des lois de la religion chrétienne (obéir à ses parents et aimer son prochain) pour faire appliquer aux enfants quelque chose qu’ils ne faisaient pas eux-mêmes et profiter de leur docilité et leur amour. Objectivement quand je vois ce que mes parents ont fait, je n’appelle pas cela « aimer ses enfants ». Bien sûr « la critique est aisée mais l’art est difficile ». En même temps, il est évident qu’un enfant ne peut pas être responsable des turpitudes de ses parents.
Pendant leur séparation, mes deux parents ont été très durs l’un envers l’autre, s’accusant chacun sans se remettre en cause et en prenant à partie les enfants.
Pendant longtemps j’ai cru que la majeure partie du problème venait de mon père, croyant plus les accusations de ma mère que celles de mon père, mais maintenant je vois que ma mère a joué un rôle destructeur elle aussi. Elle était bien moins violente que mon père extérieurement, ne piquait pas les colères terribles de mon père. Mais elle n’a pas apaisé la maladie psychiatrique de mon père. Elle excitait mon père (peut-être sans le savoir ?) et aggravait sa maladie par une application très stricte de la religion catholique. Elle gardait une emprise malsaine sur son mari et ses enfants par la religion.
J’ai lu les symptômes du manipulateur pervers narcissique décrits par les professionnels et ma mère correspond à 80 % à ces derniers. Elle est intrusive, voulant tout contrôler dans la vie de ses enfants, avec d’une volonté de dominer, d’infantiliser et d’intimider ses enfants. Je m’aperçois que DANS LES FAITS, il y a eu très peu d’amour et il n’y en a toujours pas. Très dur quand on a en face de nous quelqu’un qui prêche l’amour (si j’avais eu en face de moi quelqu’un qui ne le prêchait pas, cela aurait été plus logique et moins destructeur).
Si on n’applique pas le catholicisme de ma mère, elle nous fait la guerre et nous dénigre (par derrière le dos) vis-à-vis des autres enfants. Ma mère met la zizanie entre ses enfants, divise pour mieux régner. Elle se montre gentille mais LES FAITS SONT LÀ. Là je viens de complètement couper les ponts avec elle mais également avec mes frères et sœurs (de toute façon on se parlait très peu) car il y a un tabou absolu que l’on ne peut jamais aborder en famille qui est très dur à supporter quand je vais les voir : celui de la psychose de ma mère, toujours omniprésente dans la famille. Ma mère essaie de reprendre le contrôle en m’appelant ou me laissant des messages (dans sa dernière lettre elle m’écrivait : « garde toi de tout mal », ce qui manifeste un manque de confiance en moi et une volonté d’infantiliser son fils de 37 ans). Elle me contrôlera même si je ne lui parle pas, par ses critiques incessantes et la guerre qu’elle mène contre ceux « qui ne sont pas dans le rang », toujours par derrière le dos.
Ma mère n’aime pas son propre sang, DANS LES FAITS.
Comme elle met un masque et qu’elle joue une comédie, se faisant passer pour sainte, cela fonctionne très bien sur les personnes extérieures à la famille (ou une de mes sœurs sur qui j’ai vu qu’elle était tombée dans le panneau), qui ne voient pas le mal qu’elle fait à ses enfants et qu’en fait TOUT EST FAUX. J’ai déjà entendu des personnes me dire : « respecte ta mère » et accabler mon père de tous les maux. Mais le mal vient aussi de ma mère et il est d’autant plus dur à supporter qu’il est caché, alors que chez mon père ça se voyait très vite.
Je suis toujours célibataire, n’ayant jamais partagé ma vie avec quelqu’un, ayant tendance à rejeter les femmes et ne supportant pas de partager l’intimité d’une autre personne, l’intrusion de ma mère y étant pour quelque chose (j’ai mis tant de temps à m’en apercevoir). Voilà où j’en suis. J’ai toujours cherché à excuser ma mère du mal qu’elle nous a fait mais la psychothérapeute me dit que ma priorité doit maintenant être mes désirs et non ceux de ma famille très dure. J’ai cru aux lois chrétiennes et les ai appliquées, croyant bien faire. Mais je me faisais du mal à chercher à appliquer les croyances de ma mère, qui sont un catholicisme à elle et non «le» catholicisme, car son catholicisme a été mélangé à une psychose.
Ma mère est UN MUR avec qui on ne peut communiquer. La communication est toujours dans un sens, le sien. Impossible de réchapper à ses idées et son contrôle qu’elle impose, sans en avoir l’air.
Et puis quand je parle à mes frères et sœurs, j’ai l’impression d’avoir affaire à des pions de ma mère, des gens qui ne pensent pas par eux-mêmes, incapables d’aimer en vérité car toujours sous son emprise. Il y a toujours une souffrance quand je leur parle ou que je les fréquente.
Alors, une seule solution pour moi : la fuite et la disparition de la famille. Tout n’est que souffrance, manipulation, domination, emprise dans cette famille. Ma mère en est la reine.
Quand elle mourra, je serai soulagé à l’idée qu’elle ne pourra plus faire le mal qu’elle faisait, que la source du mal sera tarie, que la guerre qu’elle me mène par derrière le dos sera finie. Je n’irai pas à son enterrement et tant pis pour ce que pense ma famille. Mais le mal sera toujours là car il est fait. La zizanie semée par ma mère a causé de grands dommages irréversibles.
Ma mère a fait 9 enfants mais c’est comme si j’étais orphelin. J’aurais préféré qu’elle en fasse 2 ou 3 mais qu’il y ait de l’amour entre nous.
J’ai déjà pensé plusieurs fois au suicide. Ma mère n’apaisait rien, au contraire. Elle avait juste une « compassion d’objet » envers moi. Elle prend ses enfants et les jette « comme des chaussettes », les manipulant à souhait. Une grande accusatrice qui met le poids de ses propres problèmes sur eux (je me souviens qu’elle m’accusait de « faire la victime », ce qu’elle sait très bien faire elle-même, notamment en se faisant passer pour la victime de moi-même quand elle me fait la guerre parce que je n’applique pas ce qu’elle veut : dans cette attitude maternelle, on voit que le mot pervers prend tout son sens : elle renverse sa culpabilité sur les autres).
J’essaie de m’en remettre mais c’est très dur. Voilà 3 ans que je vois une psychothérapeute mais le mal est toujours là. J’essaie de m’ouvrir aux autres et prendre conscience qu’il y a des femmes qui ne sont pas comme elle, qui peuvent aimer en vérité.
Surtout ce qui me fait peur, c’est de reproduire le schéma du dominant-dominé, schéma que l’on a naturellement tendance à reproduire, quand on a connu ça. C’est la raison pour laquelle je suis toujours resté seul pour éviter de reproduire ce schéma familial si toxique.
Je ne souhaite à personne de vivre l’enfance que j’ai vécue. Mais au moins cela aura eu l’avantage de forger son caractère et de se faire violence pour s’en sortir, malgré cette mère perverse narcissique.
J’essaie de me convaincre que contrairement à ce qu’elle dit, ce n’est pas elle la victime. Difficile d’arrêter de dire que je suis un salaud de ne plus la voir et de la laisser tomber… Difficile de mettre fin à cette torture intérieure et cette culpabilité.
Cela ne peut venir qu’en coupant avec elle mais le manque d’amour sera toujours là. »

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« Tomber sous l’emprise d’un PN m’a amenée à me découvrir, se reconstruire est un fabuleux chemin, il faut du temps et chercher les réponses en soi est merveilleux »
Bonjour Michaël,
Je vous remercie de votre réponse, cela fait chaud au coeur, bien entendu j’accepte votre demande de publier mon témoignage sous forme d’article sur le blog.
J’en profite pour vous féliciter de ce blog qui peut permettre à chacun et chacune de frayer son chemin dans ce brouillard car on se sent démuni lorsque l’on comprend ce qu’il se passe et surtout isolé. Pouvoir communiquer avec d’autres est primordial et surtout savoir que l’on peut s’en sortir surtout quand les idées noires vous envoient une seule solution définitive.
Bravo donc à tous et à toutes, très cordialement.
Mireille
Voici le témoignage de Mireille :
« Bonjour à tous, je me décide à témoigner afin d’apporter un peu d’espoir. Mariée 25 ans à un PN (dont 2 PN dans sa famille et une PN dans la mienne). Les choses se sont vite dégradées à la naissance de notre premier enfant (il n’est plus le centre du monde quand l’enfant nait). Malheureusement cet enfant est décédé à l’âge de un an et je suis entrée dans une forme de déni (protection du cerveau qui ne peut admettre la dure réalité), complètement démunie devant son attitude glaciale envers moi, la joie d’annoncer cet évènement aux connaissances… puis nous avons eu deux autres enfants. L’un d’eux a développé plusieurs maladies chroniques inexpliquées, de médecins en spécialistes puis en psy j’ai fini par me laisser aller à une séance psy (insistance de la spécialiste). Au final je suis sortie du déni et je me suis réveillée d’un long sommeil, je constatais les dégâts et ne comprenais pas l’attitude de mon mari. Presque du jour au lendemain je ne supportais plus ce qu’il me faisait subir, lorsque la psy a posé le diagnostique de PN, je me suis renseignée sur internet et j’ai enfin compris. Gràce à la Psy j’ai pu renouer avec le vrai moi et reprendre le contrôle. J’ai compris par divers témoignages que si je divorçais il me ferait vivre des choses que je ne pouvais supporter concernant mes fils. J’ai donc décidé de prendre mon mal en patience et d’organiser mon évasion. En toute connaissance de cause, je me suis protégée: recréer un réseau d’amis qui ne le connaissent pas, imposer mes activités salvatrices (modeler argile, sport, cours de dessin, art floral), m’occuper de moi pour la presque première fois (esthéticienne, coiffeur, massage shiatsu), pour les vacances je composais en fonction des choix qu’il imposait comme à son habitude mais je lui échappais en randonnant longtemps (les enfants étaient ado et se débrouillaient déjà seuls). Puis j’ai consulté une avocate (on peut demander à être reçu pour une seule séance sans avoir à décider de poursuivre la requête), j’ai mis de l’argent de coté, la date de mon départ approchant j’ai consulté tout ce qui est onéreux dent, yeux etc….et le jour où mon plus jeune fils a fêté ses 18 ans et son Bac, j’ai attendu la fin de l’été pour annoncer ma demande de divorce. Cela fait trois ans que j’essaie de faire aboutir ce divorce mais mes fils ne sont plus entre ses griffes, je m’oblige à ne jamais réagir dans l’urgence comme il sait très bien utiliser cet outil, je ne réponds à aucune sollicitations tel ou mail avant une semaine ni celles qu’il essaye de faire passer par ses fils, j’ai beaucoup lu sur le sujet puis je suis passée aux livres de développement personnel (je recommande les 5 blessures de lise Bourdeau, prendre soin de l’enfant intérieur de Thich Nhat Hanh, la Méthode Aora du Dr Luc Bodin), bien sûr tout n’est pas facile mais j’ai des difficultés financières mais j’ai un réseau d’amis qui m’encouragent. J’ai découvert un sport très intéressant pour recouvrer le respect de soi (Le sistéma art Martial de défense qui est accessible à tous et à tout âge car non violent). Le plus difficile reste la relation de mon plus jeune fils qui est tout comme je l’ai été en admiration devant son père, le plus âgé a compris ce qu’il était car lors de ses études il a reçu une formation sur le sujet et m’a remercié d’avoir pu attendre leur majorité pour partir. Je ne sais pas si j’ai bien fait mais je me suis réveillée tardivement, quand on comprend ce qu’il se passe alors que les enfants sont jeunes j’aurai tendance à penser qu’il vaut mieux ne pas attendre mais se préparer en sous-marin ça m’a aidée. Depuis j’ai entamé une nouvelle relation, cependant je reste prudente, chacun chez soi et on se voit le weekend. J’apprécie tellement cette nouvelle liberté que je la protège et ne cède plus à l’amour avec vie commune. Trouver son indépendance et régler les problèmes de dépendance affective avant tout ! Tomber sous l’emprise d’un PN m’a amenée à me découvrir, se reconstruire est un fabuleux chemin, il faut du temps et chercher les réponses en soi est merveilleux. Si un PN croise votre route, prenez le comme le défi de votre vie pour vous trouver, vous construire fort et heureux dans votre intérieur. A cette occasion j’ai pu encore comprendre que ma mère est une PN, elle aussi, ceci explique cela! A tous plein de courage, prenez du recul, cette rencontre est là pour vous faire évoluer et vivre la joie d’être enfin soi-même en pleine conscience ».
Je remercie Mireille d’avoir pris le temps d’écrire et nous envoyer son témoignage. Et je pense que celui-ci pourra vous être utile dans votre lutte contre un PN.

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Votre patron est un pervers narcissique au travail, comment devez-vous réagir ?
Si vous êtes victime d’un patron manipulateur et pervers narcissique, cet article va certainement vous aider à vous protéger et vous défendre.
Mais avant, je vous conseille de vérifier que votre patron est bien un pervers narcissique.
Vous pourrez facilement reconnaître si votre chef est pervers narcissique en répondant aux questions de ce test.
Ensuite, vous trouverez tous les éléments utiles pour démasquer un pervers narcissique dans ces 2 articles :
☞ Comment Démasquer un Pervers Narcissique (première partie)
☞ Comment Démasquer et Reconnaître un Pervers Narcissique (deuxième partie)

Patron Pervers Narcissique
Comment agir avec un Perver Narcissique au travail ?
☞ Je vous propose de mettre en place la stratégie suivante : 7 choses à faire et 3 choses à ne surtout pas faire avec le manipulateur narcissique au travail.
Si vous êtes en train de lire cet article, c’est sans doute que vous êtes déjà sous l’emprise d’un patron ou d’un chef pervers narcissique. Dans ce cas, vous devez commencer dès maintenant à reprendre l’ascendant sur le patron pervers.
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Voici les 7 choses à faire avec un patron pervers narcissique:
1/ La première chose sera de ne plus dévoiler la moindre de vos faiblesses au patron pervers narcissique.
Vous avez certainement dû déplorer à plusieurs reprises que le patron narcissique vous attaquait sur des faiblesses ou blessures personnelles que vous lui aviez confié parfois longtemps auparavant.
Vous avez même constaté que le chef pervers narcissique avait une excellente mémoire et un talent particulier pour appuyer là où ça fait très mal…
Vous avez donc compris par votre expérience qu’il était une erreur de confier vos faiblesses au patron pervers.
Voici 3 exemples de ce que vous ne devez plus faire avec ce genre d’individu :
1. Ne plus lui parler de vos difficultés personnelles ou professionnelles
2. Ne plus vous justifier ou vous excuser à la moindre occasion
3. Ne plus lui faire part de vos émotions (peurs, doutes, inquiétudes, frustrations,…)
En particulier si vous avez affaire à un patron extrêmement gentil et bienveillant à votre égard, méfiez-vous !
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2/ La deuxième chose sera d’éviter à tout prix d’entrer en conflit avec le manipulateur pervers narcissique.
Vous l’avez sans doute remarqué, le patron narcissique aime les relations conflictuelles dans lesquelles il est par ailleurs très habile et combatif.
Évitez donc la confrontation directe avec le patron pervers et ne tombez pas dans le piège du conflit mais restez toujours calme et maître de vous quoi qu’il arrive. Si besoin, pratiquez l’indifférence et faites « comme si » ses remarques, critiques ou ses attaques ne vous touchent pas.
En particulier, si vous recevez des messages contradictoire du genre « bravo, c’est bien » un jour puis « tu es vraiment trop nul(le) » le lendemain, ne ripostez pas avec de la colère.
Voici 3 moyens simples comment contrôler sa colère et comment calmer ses nerfs de façon efficace.
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3/ La troisième chose à faire sera de sortir de votre isolement.
Si votre patron est réellement un pervers narcissique, il y a fort à parier qu’il vous a isolé au sein de l’entreprise.
Le pervers narcissique veut tout contrôler et tout dominer. Vous ne faites pas exception à cette règle et pour mieux vous contrôler, il vous a isolé (de votre famille, de vos collègues, de vos amis, de vos tâches « mise au placard », dispense de travail, isolement financier, etc.)
Dans ce cas, pour vous en sortir et lui montrer que vous n’êtes plus dépendante de lui, vous devez lui montrer que vous êtes capable de sortir de l’isolement en renouant un maximum de contacts avec d’autres personnes (collègues, clients, supérieurs hiérarchiques,…).
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4/ La quatrième chose à faire sera de lui montrer que vous ne le craignez pas.
Ceci est certainement la chose que la victime de perver narcissique au travail aura le plus de difficulté à faire.
☞ vous n’avez plus peur du patron pervers narcissique.
☞ vous ne craignez pas ses représailles.
☞ et vous êtes indifférent face aux menaces et autres formes de chantage.
Voici un article qui vous donne des conseils pour ne pas stresser devant un manipulateur.
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5/ La cinquième chose à faire face au patron pervers narcissique sera de lui montrer fermement et précisément quelles sont VOS limites (et vos droits !).
Vous devez lui exprimer votre opinion, votre refus, votre désaccord, votre incompréhension, vos demandes de précisions, vos limites… et tenir bon en particulier en cas de reproches, de chantage ou de menaces injustifiées.
La précision et la fermeté sont les clés de l’affirmation de soi face au pervers narcissique.
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6/ La sixième chose à faire avec le patron pervers sera de le contrer en cas d’humiliations ou dévalorisations.
Il importe que vous compreniez le mécanisme de la perversion narcissique, c’est à dire que ce n’est pas vous qui avez un problème mais que c’est votre patron qui en a un gros problème avec son égo. Par conséquent, ne vous mettez pas systématiquement sur la défensive ; vous perdriez votre temps et votre énergie.
Si par contre, il en vient à vous humilier ou vous dévaloriser, contentez-vous de lui montrer que vous estimez avoir de la valeur, que vous vous estimez être largement à la hauteur et que vous ne doutez pas d’avoir de grandes capacités et qualités personnelles et professionnelles (vous regrettez simplement qu’ils ne puisse pas le remarquer !).
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7/ La septième chose à faire sera de lui montrer que vous avez une bonne estime de vous, que vous vous sentez capable, vous avez une grande confiance en vous.
Le patron pervers narcissique manque cruellement de confiance en lui. Il ne faut surtout pas le laisser vous prendre la belle confiance que vous avez en vous.
☞ Lisez ce livre.
Et montrez-vous sûr de vous !
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Voici un rappel des 3 choses à NE SURTOUT PAS FAIRE avec un patron pervers narcissique…
Pour contrer un perver narcissique au travail, vous ne devez pas :
1/ Vous confier à lui ainsi que lui montrer vos émotions. Sinon, il s’en servira tôt ou tard contre vous.
2/ Vous moquer de lui (le critiquer, le rabaisser ou l’humilier). Même s’il le fait avec vous, ne le faites pas ! Son égo misérable ne le supporterait pas et vous en feriez les frais.
3/ Vous montrer agressif avec lui comme si vous vouliez contre-attaquer ou vous venger de la façon dont il vous traite. La vengeance n’est pas la solution, elle pourrait le rendre furieux et même très dangereux. Et vous auriez droit au licenciement… (un malheur ou une aubaine, à vous de voir !)
Comme je vous le disais, c’est en restant calme face au patron pervers narcissique que vous pourrez le mieux vous sortir d’une situation de harcèlement moral.

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