Comment Échapper à l’Emprise de Parents Toxiques ?
Posted by Michaël LIZENSOMMAIRE
- Vos parents sont toxiques ? Voici Comment échapper à leur emprise !
Vos parents sont toxiques ? Voici Comment échapper à leur emprise !
Pourriez-vous supporter ou accepter l’idée que votre vie soit un échec à cause de vos parents ?
Je suis sûr que votre réponse est « NON ».
C’est pourtant le drame qui se produit pour les nombreuses personnes qui ont des parents toxiques et qui ne savent pas comment échapper à leur emprise.

Les Parents Toxiques
Dans cet article, je veux vous donner ma définition des parents toxiques et vous expliquer comment faire pour réussir votre vie et être heureux même si vous avez des parents toxiques.
Remarquez que dans certains cas, vous pourriez avoir affaire à des grands-parents toxiques ou à des beaux-parents toxiques (et ne l’oublions pas : la belle-mère toxique !). Le problème apparaîtra si vous les côtoyez d’un peu trop près. Mais les solutions sont les mêmes.
Qui sont les parents toxiques (ou parents manipulateurs) ?
Pour vous donner une définition de ce que sont des parents toxiques, je vais vous donner une dizaine d’exemples concrets :
- Parents qui vous culpabilisent depuis votre plus jeune âge et durant toute votre éducation…
- Parents qui vous accusent (souvent à tort) et vous font des reproches à longueur de journées…
- Parents qui ne voient que les erreurs que vous faites (ou vos défauts) et sont incapables de vous féliciter ou se réjouir de vos succès (manque de compliments)…
- Parents qui vous couvent et vous surprotègent. Vous êtes noyé sous une pluie de compliments et ils vous répètent sans cesse que vous êtes « beau », « fort », « intelligent », « qu’ils sont fiers de vous », « qu’ils vous aiment »… Bref, vous êtes un enfant qui est idéalisé…
- Parents exigeants ou hyper-exigeants qui vous donnent le sentiment que vous n’en faites jamais assez (pas assez bien, pas assez vite, pas comme il faut,…)
- Parents qui vous empêchent de vous exprimer et vous affirmer (et donc de vous défendre)…
- Parents qui vous manipulent par les sentiments en faisant du chantage affectif par exemple (le plus souvent inconsciemment)…
- Parents qui vous rabaissent, vous humilient et vous mettent mal à l’aise…
- Parents qui oublient que vous êtes unique et vous comparent sans cesse aux autres…
- Parents qui vous assomment de petites phrases assassines :
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- « sois parfait »
- « fais plaisir à… »
- « efforce-toi de… »
- « dépêche-toi à… »
- « sois fort ! »
- « ne pleure pas ! »
- « tu aurais dû… »
- « fais-moi plaisir »
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Quelles sont les conséquences d’avoir des parents toxiques ?
Les paroles de nos parents (ou des autres figures parentales) sont comme des ordres qui influencent et orientent nos actions. Tout se passe comme si nous étions influencés de l’intérieur par des messages contraignants.
Voici les conséquences d’avoir des parents au comportement toxique:
- On est rongé par la culpabilité
- On a une mauvaise image de soi, on a pas confiance en soi (consultez ce livre en Pdf)
- On manque de personnalité (on est pas soi-même)
- On a des difficultés à exprimer ses sentiments à l’âge adulte : on croit qu’exprimer ses sentiments est un signe de faiblesse
- On a un sentiment de honte face à nos défauts et nos faiblesses
- On veut plaire à tout le monde
- On se sent responsable du bien-être des autres (au détriment de soi)
- On a peur du jugement des autres avec le besoin d’être approuvé dans tout ce que l’on fait…
- On se sent comme si on était « obligé » de faire des tas de choses : on se dit « je dois… » ou « il faut que je fasse… »
- On veut aller toujours de plus en plus vite (et on trouve les autres désespérément lents…)
- On est perfectionniste (vis-à-vis de soi-même et des autres – voici 4 étapes à suivre pour s’en sortir…)
- On a l’art de compliquer les choses inutilement (rien n’est facile – tout semble difficile)
- On est timide (voyez ici comment vaincre sa timidité) ou introverti (voici 4 erreurs à éviter quand on est introverti)
- On reste malgré tout frustré de ne jamais parvenir à satisfaire les parents toxiques…
Comment échapper à l’emprise de vos parents toxiques ?
Si vous avez un père ou une mère toxique, voici les principaux conseils pour vous en sortir au mieux :
Premièrement, vous devez prendre conscience de l’emprise qu’ont vos parents sur vous.
Deuxièmement, vous devez être clair avec vous-même et décider une fois pour toute de ne plus laisser vos parents avoir une emprise néfaste sur vous-même.
Troisièmement, vous devez apprendre à être ferme et vous montrer déterminé à ne plus vous laisser dire n’importe quoi.
Quatrièmement, vous devez « rejeter » toutes les attaques toxiques en prenant l’habitude de répondre systématiquement : affirmez-vous, fixez clairement vos limites, apprenez à dire « non » (voici 3 techniques), apprenez à ne pas avoir peur du regard du parent toxique.
Cinquièmement, vous devez refuser les comparaisons, les accusations et les généralisations abusives (et les relativiser)
- « c’est toujours toi qui… »
- « c’est encore de ta faute si… »
- « tu n’es jamais à l’heure »
- « c’est toujours pareil avec toi ! »
3 techniques pour échapper à l’emprise des parents toxiques
Technique n°1 : Pratiquer la sourde oreille.
Faire comme si vous n’avez rien entendu. Cette technique vous évite d’entrer dans des jeux psychologiques et d’entretenir une relation toxique avec le parent toxique. Les nuisibles, quels qu’ils soient finissent toujours par se lasser si vous les ignorez.
Suivez le conseil de Napoléon Bonaparte :
« On déjoue beaucoup de choses en feignant de ne pas les voir »
Technique n°2 : Dénoncer le comportement du parent toxique.
Voici deux exemples :
– Le parent toxique : « Ta sœur est plus méritante que toi !»
– Vous : « Tu recommences à me comparer à ma sœur ? Mais pourtant tu sais très bien que ça me laisse indifférent(e). Tu perds ton temps à me comparer à elle… car je suis une personne unique !»
– Le parent toxique : « C’est toujours pareil avec toi ! »
– Vous : « Vraiment toujours ? Il n’y a pas une seule fois où c’est différent ? »
☞ Important : restez toujours calme, ne vous énervez pas, ne vous mettez jamais en colère en face d’un parent toxique.
Éventuellement,
- Demandez au parent manipulateur de se justifier et qu’il vous donner des explications (ça évitera qu’il recommence…)
- Exprimez votre peine de subir sans cesse telle ou telle remarque et exprimez aussi votre souhait que cela ne se reproduise plus.
Si vous êtes à un âge adulte et que vos parents ne sont plus là pour vous intoxiquer, vous constaterez qu’il y a en vous une petite voix intérieure qui continue le travail de sape entrepris par vos parents. Sans le vouloir consciemment, cette petit voix ressemble étrangement à celle de vos parents (petite voix toxique qui vous déstabilise).
Technique n°3 : reformuler les messages contraignants (de vos parents ou de votre petite voix intérieure) et les compenser par des messages « permissifs ».
Ce faisant, vous attirez votre attention (ou celle du parent toxique) sur le côté positif des choses. Pour créer un mieux-être en vous.
Je vous donne trois exemples :
1- « dépêche-toi ! » ou « tu dois te dépêcher »
Peut devenir : « Je choisis de me dépêcher parce que… »
ou « je choisis de prendre mon temps; contrairement à mes parents, je prends le temps de vivre l’instant présent »
2- « sois parfait ! » ou « tu dois être parfait »
Peut devenir : « J’ai le droit à l’erreur »
3- « ne pleure pas ! » ou « tu ne dois pas pleurer »
Peut devenir : « je suis humain et j’ai le droit d’exprimer mes sentiments »
Mises en garde et observations finales
Rappelez-vous que nous avons souvent tendance à prendre nos parents comme modèles. Sachez simplement que si vous faites cela, vous tombez dans le piège de la comparaison.
Quelle est la danger de se comparer à ses parents ?
☞ Vous risquez de souffrir d’un manque de confiance en vous. En particulier si vos parents ont réussis brillamment. Consultez mon blog si vous manquez de confiance en vous (cliquez ici et faites le test de confiance en soi).
Au lieu de vous comparer, rappelez-vous que vous êtes une personne unique et incomparable.
Si vous vivez dans une famille toxique, vous devez réagir le plus tôt possible car le type de relation que vous avez avec vos parents durant l’enfance (et que vous continuez d’avoir même en étant un adulte) conditionne les relations que vous aurez avec d’autres personnes pendant tout le restant de votre vie.
Ainsi, si vous faites un jour le constat que vous êtes vous-même une personne difficile à vivre pour les autres, c’est fort probable que vous ayez eu des parents toxiques en amont…
Il se peut que vous ayez encore affaire à d’autres personnalités difficiles: collègue ou supérieur hiérarchique ayant une personnalité toxique, amitié toxique, amour toxique, pessimistes, défaitistes, perfectionnistes, plaintifs, narcissiques, manipulateurs, harceleurs, colériques, tyranniques, compétiteurs, … |
Une dernière question à vous poser (si vous êtes parent) :
☞ Êtes-vous un parent toxique pour vos enfants ?
Posez-vous la question, réfléchissez-y tant qu’il est temps…
Maintenant que vous avez lu cet article en entier… vous n’avez plus d’excuse !
J’ai que 13 ans,cela fait 5 ans que j’ai découvert que ma fausse sœur jumelle (malheureusement) voulait me manipuler pour avoir ce qu’elle voulait et gâcher toute relation que ça soit avec mes amis,mes autres sœur, parents…ect. Je me défendais par moment mais rien n’y fait car ma mère l’a défendait toujours derrière. Ça fait quelques mois que j’ai découvert qu’elle avait juste une intention : avoir une image d’une mère parfaite. Ça m’a plus que dégouté, dès que je faisais ne serait-ce qu’une petite bêtise, c’était des crises de colère envers moi. Pareil pour les contrôles et même de petites choses insignifiante. Mais je ne suis pas la seule dans cette situation,mon père et ma sœur (la seul qui m’accepte) est dans le même cas que moi même si ma sœur a moins de problème Je souhaite tellement aller en famille d’accueil mais laisser mon père et ma sœur entre les mains de ma mère et de ma sœur jumelle me fait mal au cœur. Aidez-moi je vous en supplie.
Bonjour,
Pour moi la seul solution ça été de couper les ponts avec ma mère tout le temps j’étais comparée à ma sœur jamais ce que je faisais était assez bien jet rabaissé sans cesse le fait qu’elle allait pas bien c’était de ma faute dès que je faisais un truc bien pas un mot gentil la moindre erreur c’était une avalanche de reproche par contre et essayé de parler avec elle? J’ai essayé plus d’une fois les réponses: non c’est pas vrai tu ments quoi qu’il arrive je pouvais pas la contredire et ça se finissait par une punition pour moi. Peut importe mon mal-être elle à jamais vu je mangeai pas à tout les repas quand j’allais pas bien elle s’en fichait même pas inquiète ou quoi que se soit. Ne plus la voir est une libération pour moi car mon père de son côté me félicite et ma toujours soutenu comme il pouvait quand ça allait pas il a pas toujours été comme ça mais comparé à ma mère lui il a appris de ces erreurs et n’as pas nié
Bonjour,
L’une de mes amies a un père toxique. Il a quitté sa mère et l’a embarquée avec lui lorsqu’elle avait 7 ans. De plus, il voulait à tout prix qu’elle soit la meilleure pianiste de tous les temps. Pour ce faire, il lui a fait suivre les cours du CNED et a déménagé de ************* à ***** où se trouve un conservatoire. Il l’a inscrite au conservatoire alors qu’elle n’avait rien demandé, les cours du CNED l’intéressait beaucoup plus que ceux du conservatoire, mais son père ne s’en souciait pas du tout. Pour lui, tout ce qui importait, c’était qu’elle consacre sa vie au piano. Il était hyper exigeant et lui donnait le sentiment qu’elle n’en faisait jamais assez : elle n’était jamais assez bonne pour lui (au piano), il lui fallait toujours plus. Il allait jusqu’à la comparer à Chopin, voire à Mozart, alors que la musique n’est clairement pas sa vocation (il s’agit d’une science sociale, je ne préciserai pas laquelle pour plus de discrétion), et sa phrase fétiche était « tu es décevante », rabâchée au moindre échec, à la moindre fausse note, y compris lorsqu’elle finissait deuxième à un concours et qu’elle était retenue pour un concerto. Il l’empêchait d’exprimer le fait qu’elle n’aime pas le piano, la traitant d’égoïste (critique destructive qui en dit plus sur le père que sur la fille), qui ne voulait pas faire plaisir à son père, car il ne l’aimait pas (on a là de la culpabilisation et du chantage affectif), et de fille ingrate (j’ai dépensé XXX € dans ta formation et c’est comme ça que tu me remercies ? En abandonnant le piano ?! Mais c’est pour toi que je fais ça). En revanche, il la complimentait en public, devant les professeurs du conservatoire, ou le public des concerts où elle était retenue, disant qu’il était fier d’avoir une si bonne pianiste, et insistait pour que, sur les flyers de ces concerts, il soit précisé qu’elle a choisi le piano elle-même, sans être poussée par ses parents (afin que personne ne la croit lorsqu’elle dirait ce qu’il lui dit en privé).
Lorsqu’elle eut 18 ans, elle partit vivre chez sa mère. Celle-ci la crut immédiatement et l’aimait inconditionnellement (je devrais employer le présent, puisqu’elle est vivante). Elle a alors tenté de la soutenir émotionnellement, mais, comme vous vous en doutez, ce n’était pas facile. Parallèlement, elle l’a inscrite dans un lycée afin qu’elle fasse quelque chose de sa vie (n’importe quoi, mais quelque chose), dans la filière de son choix (je ne préciserai pas laquelle pour plus de discrétion). Au lycée, les cours l’ont intéressée, elle avait de très bonnes notes, mais elle n’avait jamais connu les heures de cours, à prendre des notes, sur sa chaise, et avait donc du mal à réprimer son besoin de bouger. Si vous me passez l’expression, elle faisait partie des fouteurs de bordel, et était jugée par ses camarades : les autres bons élèves ne lui parlaient pas car « c’est une fouteuse de bordel », les autres fouteurs de bordel ne lui parlaient pas car « c’est une travailleuse, elle parle du contenu des cours ». A cause de cela, elle ne s’est pas fait d’amis au lycée. De plus, lorsque sa mère fut informée du fait qu’elle perturbait les cours en dépit de ses notes, les paroles du père résonnant toujours dans l’esprit de sa fille, elle pensait avoir profondément déçu sa mère (n’étant pas sa mère, je ne vous dirai pas si c’est vrai ou faux). Celle-ci se montra incapable de lui montrer que non, elle n’était pas décevante par nature, et qu’elle méritait toujours son amour. Elle lui disait cela, mais sa fille ne la croyait pas.
Elle est ensuite entrée à l’université. Sa mère pensait, à tort, que cela se passerait comme au lycée, mais, les cours l’intéressaient tellement qu’elle ne pouvait se concentrer sur autre chose, et ne s’est donc jamais levée de sa chaise, ni n’a parlé d’autre chose que du cours pendant un cours. De plus, elle y a rencontré une personne avec qui elle s’entendait bien. Au début, elle ne voulait pas la laisser l’aimer, elle lui disait « trouve-toi une autre amie, car moi, je suis décevante ». Cette personne lui a fait prendre conscience que non, elle n’est pas décevante, et que, gentille comme elle est, elle allait vite se faire des amis dès lors qu’elle arrêterait de penser cela d’elle. Pour cela, il a fallu attendre sa deuxième année d’études.
Aujourd’hui, bien qu’elle ne pense plus être décevante, elle souffre encore de sa relation avec son père. Celui-ci la contacte régulièrement, parfois en pleine nuit, pour lui dire qu’elle est ingrate d’avoir abandonné le piano, voire lui envoie des e-mails d’injures. Elle a beau bloquer son numéro, son adresse mail, etc, il la contacte par la poste (elle n’a pas les moyens de déménager tous les 3/4 matins), les réseaux sociaux (dès qu’elle bloque le compte de son père sur l’un d’eux, il s’en crée un autre). De plus, elle manque cruellement de confiance en elle et en ses capacités (je l’ai déjà vue développer le syndrome de l’imposteur). Si on lui dit qu’elle est capable de faire quelque chose, elle le ressentira comme une pression que l’on lui met, et elle pensera nous avoir déçus si elle rate (à cause du souvenir de son père qui lui disait ce genre de choses). Elle a du mal à se dire que le comportement de son père n’est pas de sa faute à elle, et culpabilise très facilement.
Auriez-vous un conseil à lui donner ? Nous aimerions tous (dans notre groupe d’amis) (elle incluse) la voir heureuse et épanouie, mais personnellement, je suis à court d’idées. Merci d’avance.
Bonjour , j’ai 30 ans .Je vis encore malgré moi avec mes deux parents qui n’ont de cesse de me dénigrer , qui préparent « la fin pour moi » , qui me disent que « je vais être celui qui va le plus souffrir » . Je me demande si mes parents sont foncièrement mauvais ,chose que je crois de plus en plus .Je souffre de maladies qui font que j’ai fait une demande d’Allocation Adulte Handicapée .Outre un tiers temps passager et plus que passable , je n’ai pas de travail stable . Je suis coincé avec des gens qui me méprisent au fur et à mesure , qui m’insultent , qui me menacent chaque heure , chaque jour d’expulsion .Mes parents veulent me détruire car « je ne suis pas comme les autres , je ne rentre pas dans le moule de la société » .Je développe de plus en plus d’idées noires sur ma personne et suis sujet aux crises de nerfs face à leurs « attaques » ce qui renforce leur pouvoir sur moi . Isolé socialement , je n’ai pas de contact humains à part eux et la vie familiale devient un enfer . Je cherche de l’aide auprès de professionnels de santé ,lesquels jouent la sourde oreille .J’ai l’intention de faire très prochainement un dossier de logement social ,car mes parents m’ont donné jusqu’en septembre ,pour je cite « dégager de nos vies » …
Voilà ,ce qui ressemble plus à des parents toxiques selon moi . Je vis en enfer depuis au moins trois ans et j’ai énormément de mal à m’extirper de là . Je crains le pire …
Merci de m’avoir lu .
Merci pour cet article. Il n’est pas évident de reconnaitre qu’un voire nos deux parents puissent être toxiques, les parents sont souvent « sacrés », il est mal vu de les critiquer. Cependant une fois cette étape franchie, on peut aller de l’avant.
Bonne journée.
Bonjour tout le monde,
Je me permets de vous contacter car je suis journaliste pour l’émission « Le Monde en Face », diffusée sur France 5 le mardi soir. Je prépare actuellement un projet de documentaire de 90 minutes sur les pères toxiques. J’ai lu une partie de vos témoignages sur le forum et j’aurais souhaité en discuter avec vous.
L’idée du documentaire est d’aborder ce mal invisible en mettant en évidence les blessures et conséquences vécues par les victimes. Nous voudrions ainsi donner la parole à ces enfants, devenues maintenant adultes, pour témoigner de cette souffrance tut pendant des années.
Ces témoignages précieux pourront, je l’espère, aider d’autres enfants à fuir ces parents dangereux. C’est pourquoi je suis à la recherche d’histoire comme les vôtres. Car ils sont symptomatiques d’un mal beaucoup plus profond, qui est justement l’intérêt de notre enquête.
Dans ce documentaire, nous allons aussi tenter d’analyser, à l’aide d’experts psychologue, pédopsychiatre et psychiatre, les répercussions de ces traumatismes de l’enfance. Grâce à ces observations et aux témoignages, nous souhaitons comprendre les rouages et mécanismes mis en place par ces pères destructeurs.
J’ai bien conscience que d’en reparler est probablement douloureux et je vous prie de m’excuser si mon message ravive des choses difficiles.
Dans un premier temps, nous pourrions échanger de manière informelle pour que je vous explique plus en détail notre démarche.
Si le projet vous intéresse, vous pourrez évidemment témoigner anonymement.
Voici mes coordonnées
****@coverfilms.tv
Je reste à votre disposition pour plus d’informations.
J’ai 35 ans. Je vis dans mon propre appart depuis mes 19 ans à 600 km. Mère et frère toxiques. Lui a 40 ans et a toujours été l’enfant roi que ma mère continue toujours de vénérer. Moi, bonne à rien, dès que je dis ou fais un truc elle en reparle à mon frère en transformant mes dires pour que ce dernier « valide » mes projets et ambitions ou non, ou pire tente de me « raisonner » lorsqu’il juge une affaire puérile, insurmontable, pas à ma portée, pas de la manière dont il le ferait ou je ne sais quoi…
Mon frère me fait toujours la morale comme quoi j’ai 35 ans et que je n’ai rien : 2 petits-amis avec lesquels mes relations ont été chaotiques, un travail simple payé au SMIC, pas d’enfant, pas propriétaire. Il juge mes petits-amis sur leur physique et leurs origines dont l’un venait d’un pays pauvre d’Amérique du Sud et me regarde avec dégoût en appuyant bien sur le fait que lui il ne se serait jamais retourné ni même ne lui aurait parlé, il me rabaisse et me dit clairement que je DOIS avoir des amis (et un petit-ami) SELON leur statut social, leur situation professionnelle. Ex : un médecin me mènera toujours vers le haut alors qu’un demandeur d’emploi, un commis de cuisine, un plongeur en restauration etc me mènera soi-disant vers le bas. Ce que je trouve mais alors totalement stupide comme mentalité. Lui n’a jamais payé de loyers, il est resté en mode Tanguy chez ma mère notamment en étant 5 ans au chômage et en ne payant rien du tout et il n’est parti que pour vivre chez sa copine, propriétaire de sa maison. Il ose me donner des leçons alors que son raisonnement est clairement celui d’une bitch. Elle lui parle mal, le traite comme de la crotte, n’est jamais contente et ne dort même plus avec lui depuis des années et ose dire que s’il est amené à la tromper un jour ce sera clairement justifié, qu’il reste pour sa fille (excuse bidon), il la traite de grosse dans son dos, qu’elle est moche à chier mais après il nous dit à ma mère et moi que s’il reste avec elle c’est parce que madame est intelligente, qu’elle a su gérer deux nourissons issus d’une première relation avec un boulot et des études en même temps alors qu’elle était encore jeune. Qu’elle a déjà sa maison, une situation pro parfaite car elle gagne 4 000€ par mois bref il l’admire. Mais je pense que c’est plutôt parce qu’il ne veut pas perdre sa petite vie paisible et facile, son aisance matérielle. Faut dire ce qui y est. Bref. Moi ça m’énerve que ça, ça ose me donner des leçons de moral comme si lui était parfait et avait tout réussi. Ça m’énerve qu’il me montre carrément son dernier relevé en se plaignant qu’il n’a plus d’argent alors que son compte montre qu’il a 10 000€ d’économies et qu’à eux deux ils gagnent la maudique somme de 6 000€ par mois. Que devrais-je dire de ma situation ?? Pourtant, moi, je ne me plains pas. En fait c’est lui qui me mène vers le bas et ma mère prend toujours sa défense notamment lorsque j’essaye de me défendre. Celle-ci m’infantilise depuis mon plus jeune âge : elle m’habillait encore à 8 ans, me demandait si je voulais qu’elle me mette mon suppositoire ou le thermomètre à 16 ans, ce que je refusais lol. Que je l’appelle pour qu’elle me lave le dos car « toute seule c’est pas facile » donc à 15 ans, depuis ma baignoire, je l’appelais pour mon dos. Ridicule. Ce n’est que plus tard que je me suis rendue compte que ce n’était pas normal mais pour moi, à l’époque, je n’y voyais rien de mal. Elle m’empêchait de sortir donc pas de vie sociale et donc je n’ai plus d’amis là-bas car à force de leur dire que ma mère ne voulait pas que je passe l’après-midi chez elles elles ont cessé de m’inviter. J’étais trop timide et coincée au collège, au lycée, je rougissais toujours dès que les profs m’interrogeaient, on ne m’entendait jamais, je n’ai jamais su que je pouvais aller dans une grande ville pour faire des études, du coup j’ai bâclé mes années. Je n’ai pas le bac car du coup les profs ne voulaient pas me laisser passer en voie générale alors que c’était mon souhait, ils pensaient que j’étais à fond mais que j’avais quand-même de mauvais résultats alors que quand j’aimais une matière j’avais toujours entre 15 et 20/20. D’autant plus que j’ai réalisé plus tard que j’avais un QI supérieur à la moyenne donc j’aurai très bien pu avoir mon bac puisque j’aurai été dans la filière que je voulais être donc quand on aime quelque chose forcément on est plus réceptif et ça rentre mieux. A 16 ans, ne pouvant pas sortir alors que pourtant j’étais sage : pas de drogue, pas d’alcool, pas de discothèque, pas de petit-ami etc donc je m’occupais comme je le pouvais et m’adaptais aux jeux de ma voisine plus jeune dont nous jouions à la barbie… La honte franchement. A 17 ans je devais demander l’autorisation pour porter mon petit cousin qui venait de naître, il était hors de question que je le prenne dans mes bras « tu vas le faire tomber » alors que sa soeur de 13 ans le portait comme bon lui semblait et que ma cousine de 7 ans, lorsque je suis née, me donnait le biberon dans ses bras tout en marchant, des photos familiales en témoignent mais moi à 17 ans c’était niet. Voilà de quoi se sentir comme une incapable, une moins-que-rien, une nulle à chier. (Pardonnez mon langage). Comme si tu allais le faire tomber mais n’importe quoi. Du coup je n’ai pas du tout confiance en moi. J’ai toujours peur avec les enfants, je porte le bébé de mes copines mais avec gêne et peu d’assurance, par peur de le faire tomber. J’ai gardé des séquelles et je rougis encore quelques fois notamment quand je paie mes courses et que toute la file derrière moi me regarde. Je ne suis pas à l’aise quand il y a trop de monde, notamment à pieds, en voiture. Je ne me sens pas normale et à force de m’étouffer, de contrôler ma vie et de me diriger je n’ai aucune assurance. Même aller faire des démarches administratives ça me fait cogiter toute la nuit alors que pourtant c’est simple. Je ne compte même plus les fois où j’ai posé un lapin à un entretien d’embauche par peur de ne pas être à la hauteur… Ma mère se prend trop la tête pour rien du coup je lui cache souvent des choses. Notamment à Sa Majesté sinon je serai réprimandée comme une petite fille bête et nulle.
Ma nièce qui a 5 ans est respectée par-contre. Dès qu’elle veut partir elle n’a pas à se justifier et ils s’exécutent alors que moi je dois toujours me justifier et négocier tout en restant ignorée et prise pour un jambon car au final on ne part pas de chez mon frère car ma mère veut rester alors qu’il habite à 20 mn de chez elle et que moi je ne viens pas souvent étant donné mes occupations et que j’habite à 600km, alors qu’il est clairement occupé tout l’après-midi sur sa voiture et que moi je n’ai pas fait 600km pour m’emmerder en pleine cambrouse. Mais c’était un subterfuge pour que je serve de main d’oeuvre. Voilà. Toutes les 10 mn Sa Mejesté m’emmerdait avec ces incessants « Melinda ? Tu peux venir pour tenir » qui étaient en fait des « tu viens » car pas le choix…
Ma mère me donne des gâteaux car la petite n’en veut pas et quand elle vient et que je m’apprete donc à en manger un elle me dit « c’est à ta nièce. » Ah bon, il y a son nom dessus ? En plus elle m’avait dit qu’elle n’en voulait pas et pour ça elle me les a donnés. « T’en donnes ou pas à Melinda ? Non elle veut pas » ma mère me dit me faisant comprendre de relâcher la pâtisserie. Du coup la petite mange juste les pépites du dessus, vous savez comme tous les enfants, dès qu’on utilise quelque chose dont ils ne se servent pas à la base, soudainement il leur en vient tout d’un coup l’envie de l’utiliser… Eh bien elle a juste léché les pépites du dessus et a laissé le reste. Alors ma mère m’a dit « c’est bon, tu peux le manger. Elle n’en veut plus » comme si que j’étais une poubelle. Du coup évidemment je ne l’ai pas mangé. Je ne mange pas les restes. Faut pas déconner. Enfin voilà même la petite de 5 ans est respectée et même idolâtrée, en même temps c’est la fille de mon frère donc pas étonnant. Même bouille blonde aux yeux bleus. Peut-être que je suis moins jolie ? Je suis moins blonde et mes yeux sont d’un bleu plus foncé que les leurs… C’est nul comme questionnement mais justement on se questionne et on se demande qu’est-ce qui ne va pas chez nous pour être à ce point différencié… Ma mère les préfère clairement à moi. Elle a toujours été du côté des autres et non du mien. Moi je suis une sous-merde. Je sais qu’ils m’aiment évidemment mais leur comportement toxique ne m’aide en rien à me valoriser moi-même. D’où cette impression de me sentir comme une merde. Comme un animal. En tout cas pas comme un être humain qu’on respecte… Comme j’enviais mes copines de classe qui pouvaient aller et venir comme bon leur semblait sans jamais devoir se justifier, en respectant bien sûr quelques règles comme ne pas rentrer trop tard. L’avantage d’habiter en ville ? Petite ville du trou du cul du monde d’ailleurs. Même ma voisine plus jeune, ou nous habitions en campagne, pouvait aller à des fêtes pourtant sa mère était vraiment stricte et sévère mais elle la laissait quand-même vivre sa vie et avoir des amis comme tout le monde…
Quand je l’ai au tel elle me dit « tu veux parler à ton frère? Il est là » et hop elle lui donne le téléphone et j’entends aussitôt sa voix alors que je n’ai rien à lui dire et qu’à la base je n’en avais pas envie. D’autant plus que j’ai son numéro de portable donc si je voulais discuter avec lui je l’appelerai directement. Logique. Et quand je dis non elle me fait des reproches « tu pourrais parler à ton frère quand-même » et elle lui donne le téléphone alors que j’ai clairement refusé et après mon frère me dit « pourquoi tu ne veux pas me parler ? Tu ne m’aimes pas ? » parce que du coup il a tout entendu parce que ma mère a mis le haut-parleur.
Quand je fais 600km pour leur rendre visite ma mère veut toujours aller le voir notamment sur son lieu de travail à 1h de route et me l’impose. Genre « ne retire pas ton manteau, on va chez ton frère » et si moi j’ai pas envie ??? Ou alors « où on va pour faire les courses ? » du coup je lui dis ben en ville ou pas loin et en gros elle me fait comprendre qu’elle voudrait changer et va en direction du taff de mon frère qui est donc à 1h de route. Donc une fois OK pourquoi pas, on lui fait la surprise (à son petit prince) mais quand c’est tous les 2 ou 3 jours ça me gave.
La dernière fois elle était invitée chez sa soeur et sans me demander mon avis elle a dit à mon frère qu’on passe la journée ensemble. Comme si à 35 à s je ne pouvais pas rester toute seule et que j’avais besoin d’un baby-sitter. Du coup je n’ai pas eu le choix car c’était son jour de repos et donc il est venu me chercher. Je n’ai pas pu refuser parce que j’aurai perdu de toute façon. Mais la journée : pourrie. J’étais mal à l’aise car il l’était. Il m’a jugée sur mes expériences donc reproches à volonté. Le peu que je racontais histoire d’entamer une discussion il a détourné mes propos en le racontant à ma mère qui lorsque nous étions toutes les deux a dit « ton frère il dit que tu vis dans le passé » avec inquiétude alors qu’au cours d’une conversation je lui ai juste mentionné le mal que m’avait fait une amie car cela m’y avait fait penser. Point. Alors que lui quand il regarde une photo il dit avec nostalgie « putain, c’que c’était bon ce temps-là » donc euh qui vit dans le passé ???
Pas libre de mes mouvements, à 18 ans il y avait une fête de famille dont je n’ai pas voulu assiter. J’étais au lit et ma mère et mon frère sont venus à mon lit et encore une fois je devais me justifier sur mon refus de venir à cette fête qui avait lieu quelques jours après. Ça a été comme ça pendant 2 ou 3 heures et croyez-moi je n’exaggère pas. Ils sont vraiment restés 2-3 heures à mon lit dans le but de me faire changer d’avis. Du moins mon frère, ma mère assise sur mon lit se contentait de me regarder, pensive, comme si j’étais une cause perdue et que je faisais mal à son petit chéri en refusant de me joindre à la fête. Du coup avec toute cette pression j’ai pleuré et dit pour la millionième fois que je ne voulais pas y aller. D’autant plus qu’il y aurait eu ma cousine jalouse qui comme d’habitude dirait du mal de moi aux autres cousins-cousines pour me rabaisser donc je n’avais pas du tout envie. Il m’a poussé à bout alors je l’ai giflé pour la première fois de ma vie. Ma mère là, elle a réagit comme si j’étais la fautive, et puis au final pour qu’ils arrêtent de m’emmerder en me harcelant moralement j’ai fini par céder et voilà.
Je ne trouve ça pas du tout normal qu’on te force à faire quelque chose que tu n’as pas envie de faire. Que ce soit pour ça ou pour le fichu capot de sa voiture qu’il a déglingué. Il a des potes alors qu’il fasse appel à eux. Ce n’est pas à moi de faire ça sachant que je suis une petite femme toute fine avec en plus un doigt handicapé. Et par-dessus le marché il avait osé m’engueuler parce que à bout de force j’ai malencontreusement laissé le capot glisser et que ouh la la ça aurait pu rayer sa voiture, alors que s’il a eu un accident c’est parce qu’il a roulé à 150km/h sur une route à 80 et qu’il a percuté un pauvre chevreuil donc moi franchement j’en ai rien eu à foutre, j’ai pas fait 600km pour lui servir de main d’oeuvre. Et ma mère qui attend que mon frère n’ait plus besoin de moi et donne le feu vert pour nous libérer pour finalement me dire qu’on rentre chez nous, après 6 heures passées là-bas alors que toutes les demies heures je leur disais clairement que ça me gavait et que je voulais partir et lui qui me dit « c’est bon. Je te libère. De toute façon tu ne m’aimes pas. Personne ne m’aime » et ma mère au volant, triste, parce que je suis méchante avec son « petit mignon »…
Bref. Pas étonnant que je leur rende de moins en moins visite. Je n’ai même plus envie de passer ce coup de fil à ma mère que l’on fait 1 fois par semaine depuis 14 ans ou j’ai quitté le domicile parental. Mais dès que je ne réponds pas elle s’inquiète à mort et mon frère Zorro vient à la rescousse pour me réprimander.
Il joue énormément sur la manipulation sentimentale ce qui m’ énerve comme pas possible. Pour Noël quand je dis que je ne viendrais pas passer les fêtes avec eux mais avec des collègues il me prend par les sentiments « ta mère n’est plus toute jeune. Il faut en profiter parce que après ce sera trop tard ». Pareil quand j’envisage un petit voyage en Europe « tu ne vois jamais ta mère qui je te rappelle n’est plus toute jeune. Il ne lui reste plus beaucoup d’années. Tu devrais venir ici en vacances plutôt que d’aller à L’Étranger » ce que je ne cède pas puisqu’à distance il ne peut rien faire. Tandis que moi je peux lui raccrocher au nez.
J’ai même caché que j’étais partie 1 mois en Thaïlande parce que ma mère se prend trop la tête pour des conneries. Une fois quand je lui avais dit que j’adorerai passer des vacances dans tels pays notamment en Australie, le jour d’après mon frère est venu et a tenté de me « raisonner » en appuyant encore sur le fait que notre mère était vieille et en me hurlant tout pleins de reproches « ouais c’est quoi c’est conneries maman m’a dit que tu voulais partir VIVRE en Australie » alors que j’ai juste mentionné des vacances et puis à la rigueur si à 35 ans j’ai envie de changer d’air en m’installant dans un autre pays ça ne regarde que moi, je n’ai pas besoin de bénédiction ou d’autorisation…
Il est très difficile d’avoir un appartement, tant les offres moins nombreuses que les demande que pour toutes les conditions que les agences oû particuliers exigent. Qui gagne trois fois le montant du loyer ? En plus même en prétendant gagner plus de trois fois le montant du loyer et en prétendant etre en CDI depuis 5 ans on me demande quand-même un garant ! C’est vraiment abusé. Alors j’ai demandé à ma mère qui n’a jamais voulu « je ne peux pas ». A mon frère « si je me porte garant je veux que tu me montres ton compte en banque chaque mois et que tu me rassembles tous les tickets de caisse que tu possèdes ». Bon. Laisse tomber. Du coup les parents de mon ex petit-ami s’étaient portés garants pour moi, sans me demander quoi que ce soit. Quelques années après c’est le frère de mon second petit-ami qui s’est porté garant pour moi alors que je ne le connaissais pas. Lol. Et voilà,je ne vois pas où est le problème. C’est juste une histoire de paperasse pour que ton dossier soit accepté. Rien de plus. Je ne demande pas et je n’ai jamais demandé d’argent. J’ai toujours payé mes loyers et factures en temps et en heure donc pourquoi me faire chier en me posant des conditions plus qu’abusées ?????
Donc c’est bien beau de me donner des leçons de vie alors même que je connais plus la vie que lui ne la connaît au final et de m’imposer de choisir mes relation amicales et amoureuses en fonction de leurs études et profession soi-disant que ces gens-là me mèneraient forcément vers le haut tandis que des CAP, BEP ou autres me mèneraient soi-disant vers le bas alors que ça n’a strictement rien à voir.
Ce sont eux qui depuis toujours me mènent vers le bas puisque la preuve aujourd’hui j’en souffre encore et cela me handicape dans mon quotidien. Comment se valoriser soi-même et avoir de l’estime pour soi-même, de l’assurance, de la confiance alors que même ces personnes qui sont sensées nous respecter, nous mener vers le haut, nous encourager, au final, nous font sentir plus bas que terre, nous font sentir clairement minables de par leur comportement toxique qui les amène sans qu’ils s’en rendent compte à nous contrôler, à nous diriger, à nous I poser des choses qu’étant donné notre âge sommes pourtant supposés pouvoir prendre des décisions tout seul, sans avoir à nous justifier, sans avoir à rendre de compte à personne ?
Ce n’est pas maintenant qu’ils changeront et ce n’est pas faute d’avoir tenté de leur parler…
Mieux vaut rester à l’écart. Mieux vaut ne compter que sur soi-même.
Mieux vaut être seuls que mal accompagnés car plus on subit et plus la douleur devient profonde et irreversible.
Amicalememt.
Melinda.
Bonjour
J ai un pere toxique depuis la mort de ma mere c est pire il joue sur le fait que je dois l apeler ts les jours pour pas qu il soit seul je dois le privilégié a ma famille et je devrais choisir d apres ces choi x….je suis epuisee donc j ai decide de l appeler 1 fois par semaine de ne plus écouter ses chantages affectifs et depuis je recois des textos de sa part tres dur genre je vais mourir la vie ne tiens qu a un fil ….tu dois etre plus attentif a moi etc horrible ca me culpabilise c est dur je ne sais plus comment faire j ai envie de couper tout les ponts quoi faire il n ecoute pas et ne se rend pas compte des propos durs qu il a …
Bonjour,
J’ai lu quasiment tous vos témoignages et je trouve un copier-coller chez NB ! Mon passé et mon présent sont identiques j’ai 48 ans et bien que le lien soit rompu depuis 3 mois a l initiative de ma mère qui considère que mes attentions a son égard ne visent qu’à lui gâcher la vie, son travail de sape opère encore jour et nuit. Je sens la dépression s’installer sournoisement mais sûrement d’autant plus qu’elle a gardé le lien avec mes 2 enfants. Elle me méprise, m’a toujours méprisée, étant à l’origine et la cause de sa vie gâchée depuis 49 ans grossesse comprise. Intellectuellement la rupture représentait un soulagement, la culpabilité se fait force de loi accentuant ma fragilité notemment face à la rencontre de personnalités similaires . Que faire de plus ?
Je viens de lire de nombreux commentaires et c’est très douloureux pour ces jeunes qui sont encore sous l’emprise d’un ou des 2 parents toxiques. Bon, moi j’ai réalisé depuis peu que c’est mon père qui m’a formaté une image très négative, j’avais compris pour mon frère qui est devenu très dur, mais pour moi j’ai pas réalisé que j’en avais été victime aussi, j’ai fait un déni pendant 40 ans, j’ai fui dès 18 ans, mais jamais bien loin et j’avais souvent besoin de lui, il a fait ce qu’il devait faire pour m’aider, mais je suis sous sa coupe, il m’a critiqué, humilié, insulté, nié mon identité enfin bref, il a fait un travail de zap pendant 30 ans. J’ai parlé ce week end avec ma mère qui m’a avoué deux faits totalement traumatisant. Elle a perdu 1 de ses frères elle avait à peine 20 ans et son frère un peu moins, mon père l’a surprise un jour entrain de pleurer son frère tout en se cachant, il a osé lui dire « mais tu vas arrêter de pleurer, il est mort, il est mort ». Ensuite elle m’a parlé de ma grand-mère qui était très malade. Ils allaient partir en vacances chez des amis, ma grand-mère allait très mal et elle a réclamé sa fille, ma mère, donc les vacances ont été retardé d’un jour, quand elle en a informé mon père, il s’est plaint en disant « pour une fois qu’on part en vacances, la vieille va nous déranger ». Tout ça je l’ai appris tout récemment et je suis choquée de tant de méchanceté de sa part et je ne suis plus du tout surprise qu’il est été aussi mauvais avec mon frère et moi, je comprends tout, tardivement, mais c’est fait. Aujourd’hui, je vis à côté de chez lui, il a presque 80 ans, toujours mauvais, il critique tout le monde, les infirmiers, les médecins, ma mère (divorce récent au bout de 50 ans de mariage), mon frère qui a été son souffre douleur pendant des années, mon neveu (le fils de mon frère) et je suis moi entrain de m’occuper de lui, ses RDV médecins, sa pharmacie tous les mois, ses courses, l’organisation de ses aides-ménagères que j’ai mis en place, l’organisation de ses courses que j’ai mis en place au bout de 8 mois, il m’a pris 80% de mon temps pendant plus de 12 mois à tout faire pour lui, il ne peut plus conduire, il a plusieurs fois demandé de ne plus venir chez lui, parce que cela le dérangeait que je m’occupe de lui à sa demande et bien sur il m’a rappelé me demandant de l’aide, il ne peut pas être autonome, je supporte ses reproches, ses colères, son agressivité, il m’accuse de tout comme quand j’étais qu’une enfant innocente, je suis bien sûr sous anti-dépresseur, j’ai craqué et je me dis que son diabète, sa mauvaise hygiène de vie, son alimentation hyper sucré, sa démence vasculaire, son cholestérol trop trop élevé, ses artères calcifiées, son alcoolisme vont l’emporter d’ici peu. Il ne peut plus rien faire depuis plusieurs mois, je pourrais vivre une deuxième vie, une deuxième chance, j’y ai droit. Voilà, mais je suis très triste pour vous tous qui vivaient des situations très très difficiles, accrochez-vous. Ce n’est pas du réconfort, mais vous n’êtes pas seuls à avoir subi des violences psychologiques qui sont imperceptibles physiquement, mais qui détruisent de l’intérieur et le mental est marqué au fer rouge pour les plus âgés. Pour les jeunes, dites-vous qu’il faut s’éloigner, qu’il faut prendre du recul, qu’il faut par tous les moyens vous construire une vie solide avec un mari, une femme, des enfants et faire face à votre responsabilité, vos parents n’ont plus rien à dire quand vous serez chez vous avec votre famille. Pour les mineurs sous emprises, cherchez de l’aide à l’extérieur de la famille, un jour vous serez majeur et il faut que viviez votre vie d’adulte, il y a des belles choses à vivre, ne vous suicidez pas, c’est inutile, vivez, soyez forts, ne répondez pas, patientez, bientôt vous aurez votre liberté, c’est facile à dire, moi je ne sais pas comment j’ai fait puisque tout a commencé à l’adolescence et j’en ai 51 maintenant, mais j’ai réussi à prendre le dessus à ma majorité, j’ai eu un bon job sans diplôme, 1 mari, 1 maison achetée, 1 bébé qui a 22 ans maintenant, mais j’ai aussi perdu, on gagne pas tout le temps avec un parent qui vous a mis des conneries dans votre mental, on fait des erreurs, même avec des bons parents je pense, c’est la vie, elle est faite de bonheur et de douleur, mais vivez, accrochez vous, vous n’êtes pas là pour rien. Ce parent ou ces parents toxiques vous ont mis au monde, c’est malheureux qu’ils soient mauvais, mais vous n’êtes pas comme eux, vous êtes mieux qu’eux, vous méritez mieux que ce ou ces tyrans.
Bonjour j’ai 23 ans je vis avec un parent (père) un toxique. Dans ma famille nous sommes 4 deux filles deux garçons. Mon père me rabaissait souvent et était violent envers moi quand j’étais petite il me tapait beaucoup quand ma mère n’etait pas là ,certes j’étais têtue mais par moment une petite faute de ma part et j’avais droit à des coups ou des mots très blessants sur mon physique ou autre.
Mon père a agit comme cela de mes 12 ans jusqu’à mes 17-18 ans. Il me battait,j’avais le droit à de la violence physique et verbale,puis à mes 18 ans ce n’etait plus des coups mais de la violence verbale. Aujourd’hui je me suis protégée, dans le sens où je l’évite, malgré que je vis toujours chez mes parents, je fais en sorte de ne pas être dans la même pièce que lui, je ne lui dit plus bonjour.
Malheusement mon deuxième frère le troisième n’a pas pu se protéger comme moi. Lui aussi a subi les mêmes choses que moi. Mon père n’etait plus en mesure de me faire du mal à cause de mon âge, il a changé de cible. Il le rabaisser souvent à table, quand ma mère n’etait pas là Il le tapait ( gifle coup de poing) puis viens un jour mon père a changé son comportement vis à vis de mon petit frère il était devenu gentil ect Mais par derrière il lui racontait de mauvaises choses sur moi ma mère et ma grande soeur du style : j’ai fait tout pour elles regarde comment elle se comporte avec moi ect. Mon petit frère a commencé à mal se comporter avec ma mère puis un jour il a craqué ( problème avec sa copine écoles situation maison) aujourd’hui il est à l’hopital.. dans un hopital pyschiatrique. Voilà quand on ne se protége pas contre mon père voilà ce qui arrive.
C’est grace à ma mère que j’ai pu eviter tout ça mais elle n’a pas pu protéger mon petit frère, il faut dire aussi que mon père a été très violent envers ma mère…
À l’heure d’aujourd’hui il ne s’est jamais excuser, pour lui c’etait normal de faire et dire ses choses. Ce n’est pas une personne qui s’excuse de toute les façons.
C’est n’est que maintenant que je prends ma vie en main je prends de la force dans des livres sur le développement personnel. Et ça fait plutôt du bien 🙂
Avec cet article, je suis sûre d’avoir un père toxique, j’utilise l’une de vos technique = faire la sourde d’oreille. Pour ma part c’est mieux car il veut toujours avoir le dernier mot donc je préfère l’ignorer c’est ce que j’ai toujours fait d’ailleurs.
bonjour je commente pour un ado de mon entourage , qui n’a plus du tout de vie , c’est un gamin adorable avec une mére toxique , il a 16 ans , il n’a pas de télephone aucun contact avec ses amis , il a eu le malheur d’avoir une petite amie et la mére est alors devenue totalement folle , il est cloitré chez lui pendant les vacances n’a le droit a aucun contact juste celui d’aller a l’ecole et encore elle est tellement parano qu’elle le suit et surveille pour etre certaine qu’il ne parle a personne .. ses resultats scolaire sont un echec , il est extrémement malheureux , personne ne peut communiquer avec ni avec la mére bien sur qui est totalement fermée et n’a aucun ami .. comment aider ce gamin ?
merci
Bonjour Nathalie,
Je tombe par hasard sur votre commentaire et ma belle-fille est dans la même situation que l’ado dont vous parlez. Je suis aussi perdue que vous. Peut-être pouvons-nous en discuter ? Voici mon adresse e-mail : ——-@gmail.com
Bonjour,
J’ai 27 ans et je dois faire un choix qui me paralyse depuis plusieurs mois (je ne dors plus, je n’arrive plus à me concentrer au travail, etc). Ma mère, qui a eu une enfance douloureuse et une vie difficile, se sent très seule, est très déprimée et malade. J’aime ma mère j’ai envie de leur venir en aide, mais nos relations sont très conflictuelles, nos tempéraments et caractères à l’opposé : elle exige de venir habiter avec moi, sinon elle menace, outre les aspects financiers, de ne plus suivre ses traitements, voire de tout abandonner pour aller où ? (je ne sais pas), se suicider et être enterrée dans une fosse commune (alors que l’on a un caveau familial). Je suis désemparée face à cette situation, et je ne sais pas à qui en parler. Plusieurs fois, j’essaie de lui expliquer ce que je ressens et la situation dégénère, elle ne répond plus. Pour elle, tout est noir ou blanc, elle n’admet aucun compromis ne serait-ce qu’une journée déconnectée sans que je ne parle à personne pour essayer de me recentrée. Je sais que ce ne n’est qu’une question de semaines ou de mois. Mais, à moins que son psychiatre lui fasse entendre raison, je dois faire un choix quel qu’il soit et l’accepté et vivre avec.
J’aurais besoin de vos conseils sur cette situation qui me torture psychologiquement et me conduit à l’isolement étant donné que je n’ai plus aucune force.
Bonjour, J’ai 47 ans, j’ai un conjoint et nous sommes parents de 3 filles. Depuis ma jeunesse, je suis sujette à des épisodes de dépression sévère. J’ai été incapable de mettre une cause sur cet état sauf qu’il n’y a pas si longtemps en ayant un suivi psy., j’ai pris conscience que ma mère est une mère toxique. Aujourd’hui, elle est malade et vieillissante. C’est d’autant plus dur car je n’en peux plus et que de part sa condition, elle est encore plus « présente ». Aujourd’hui, je veux vivre pour moi, mon conjoint et mes filles. Je veux vivre tout simplement en laissant de côté cette chape de plomb. C’est arrivé à un point où c’est plus une obligation d’aller la voir. Je suis toujours sur la défensive car je sais qu’elle va trouver le moyen de m’en balancer une bonne. Malheureusement, j’habite proche de chez elle. J’ai réussi à extirper mes filles de là car elle a commencé à faire de même. Elle a pris la voiture en ayant bu plus que de raison, elle a appelé mon aînée en disant qu’elle voulait se suicider, etc. Ma soeur a eu les mêmes problèmes mais elle a réussi à s’émanciper car étant homosexuelle, elle a du partir pour s’assumer assez tôt de la maison. Ma mère n’a pas du tout les mêmes relations avec mon frère et il ne comprend d’ailleurs pas mes relations avec ma mère. J’ai commencé à en parler il n’y a pas si longtemps et c’est difficile d’être entendue car elle ne se comporte pas de la même façon avec moi qu’avec les autres. Elle est toute petite et est très maigre, elle renvoie une image de fragilité alors que ce n’est pas du tout le cas et en joue surtout avec les personnes extérieures à la famille. J’ai fait l’erreur de rester car quand mon père et ma mère sont restés seuls, je sais que ma mére, éternelle insatisfaite, s’en prenait à mon pére, très doux, bienveillant, aimant rendre service et je me suis sentie obligée de faire tampon. Mon frère habite en province et ne vient pas la voir souvent. A ce stade, pensez-vous qu’il faille que je coupe les ponts ?
Bonjour tout le monde, j’ai bientôt 18 ans
En lisant vos commentaires et vos témoignages,je me sens comprise car j’avais l’impression d’être seule à ressentir ceci alors que en réalité non, nous sommes nombreux. Ma situation est compliquée notamment avec ma mère qui me pourrie la vie. Elle me traite d’incapable dès que je fais quelque chose qui ne va pas dans son sens, elle me rabaisse et pour se racheter, elle va vouloir m’offrir des vêtements ou d’autres choses que je ne veux pas. J’ai l’impression d’être un objet qu’on achète, un bouche trou. De plus, elle veut faire tout à ma place, elle choisit mes vêtements, fais mon lit, je n’ai pas mon mot à dire. Je me défends, j’ose lui répondre mais c’est tout de même très dure car je suis fille unique et je ne peux m’appuyer sur personne appart moi-même car j’en parle à mes amis mais ils ne comprennent pas et mon père dit que c’est ma crise d’ados, il fait la sourde oreille. Cette situation est très difficile car je ne peux pas sortir non plu, elle fouille dans mon téléphone, regarde combien je fais de messages par jour, me surveille, me fait un interrogatoire tout les jours à chaque fois que je rentre du lycée. Cette situation m’est devenue insupportable car je déprime assez souvent jusqu’à avoir des pensées noires, je pleure souvent et j’ai un grand manque de confiance en moi même si je fais tout pour que ça s’améliore… Je n’arrive pas à m’affirmer, j’ai beaucoup souffert car je veux sans cesse aider les autres pour pouvoir m’oublier ou plutôt fuir la réalité, je me fais avoir car des gens ont profité de moi à cause de cette faiblesse. Je me sens vulnérable… et surtout je ne profite pas de ma jeunesse, je passe à côté de pleins de chose quand je regarde les autres jeunes de mon âge s’amuser avec leur amis…les choses banals de la vie sont devenues pour moi inaccessible. Je me bats mais c’est de plus en plus difficile comme je grandis. Je m’en sors un petit peu car j’en parle autour de moi, à mes amis, à ma professeur d’anglais, à ma mamie. Je fais aussi du théâtre, ce qui m’aide beaucoup à vaincre ma timidité et à prendre confiance en moi. J’ai eu la chance aussi de pouvoir faire un concours oratoire qui m’a énormément apportait. Le chemin vers la guérison est encore très long mais j’espère avec le temps pouvoir y parvenir. Mes conseils pour s’en sortir c’est d’en parler autour de soi, pas de rester enfermé, en parler permet de nous libérer de tout ce poids, ça aide beaucoup. De plus, oser le changement et tenter des choses que l’on a jamais faites auparavant permet de nous redécouvrir, de nous surpasser et de nous apporter de la confiance. Et surtout il faut du temps mais battez-vous et ne relâchez rien surtout car c’est votre vie et vous seul en est maître. Il ne faut pas se laisser abattre par qui que ce soit même vos parents, ils vous ont donnés la vie mais ça ne leur permet pas de nous maltraiter ou autre. Ils sont égaux comme tout le monde. Si j’ai bien compris quelque chose avant tout c’est que pour être heureux il faut déjà bien être avec soi-même, affronter ses démons. Une fois bien avec soi-même, nous pouvons aider les autres et c’est ce que je voudrais faire et transmettre à travers mon témoignage. Surtout que la vie est déjà pleine d’embûches, il faut savoir faire du tri et savoir couper les ponts pendant un temps même si il s’agit de ses parents. Il s’agit de nous et de personne d’autres. J’espère que mon témoignage pourra vous aider et merci pour tout vos commentaires, je me sens bien plus comprise grâce à vous.
Bonsoir,
Je me décide à écrire afin de me dire que j’agis !
J’ai 40 ans, un mari et 2 filles petites encore.
J’ai également un père toxique, méchant et manipulateur, extrêmement culpabilisant.
Ma petite sœur et moi n’avons jamais rien fait de suffisamment bien à ses yeux !
Il ne nous a jamais dit que nous ne vallions rien mais son regard et sa déception à chaque fois que nous souhaitions entreprendre qqchose ne nécessitait pas de paroles. Mais il arrivait à ses fins « ça n’est pas exactement ce que je souhaitai que vous fassiez, sous entendu, vous êtes trop limitées dans votre intelligence comparé à moi qui avait l’intelligence mais financièrement pas les ressources, alors vous ferez plutôt tel métier et je vous donnerai l’argent nécessaire.
Ma mère est une femme totalement soumis, comme ttes les femmes de sa fratrie, faute à un père violent et distant. Elle ne le contre dit pas et me fais rentrer dans leurs histoires de couple .
Ne souhaitant pas faire de peine à ma mère, je culpabilise de la laisser seule avec mon père, la distance 400km me fait également culpabiliser, je rentre malgré moi dans des conflits qui ne me regardent pas.
Ma sœur et moi sommes parties de la maison des que nous avons eu notre Bac en poche. Puis nous avons trouvé nos conjoints, moi à 400km et ma sœur à 7000km. Il ne se rend même pas compte que ses filles ont fuient !!
Naturellement, je suis l’aînée, la plus proche géographiquement et je subis tjs les foudres de méchancetés et de désapprobations de mon père. Mes filles sont mal éduqués et il se permet de me reprendre sur leur éducation, ma façon de faire avec elle, que je suis bien trop stricte alors qu’il exige qu’on l’appelle papy à chaque fin de phrase et de début de phrase, car dit il, il ne supporte pas être un anonyme, que c moi la méchante qui mets de la distance.
J’ai très peur de répéter ce schéma avec mes filles.
J’ai peur de devenir une mère toxique et de les faire fuir à cause de mon attitude et de l’éducation que je leur porte !
Bonjour,
Je vis la même chose que toi et mes parents m’ont fait des choses que j’avais jamais cru qu’ils allait fait, si tu veux me contacter n’hésti pas ça pourrais t’aider de parler avec qlq moi j’ai de la chance d’etre avec ma soeur qui subis la même chose que moi. Donc n’hesit pas si tu veux parler avec qlql et dieux sais que les autres vont dire non mais c’est tes parents quand même et je ne sais pas quoi mais les parents sont aussi es êtres humains et ne sont pas parfaits donc voila .
Je te desire le mieux !!
Bisous!!
Je m’appelle Lola, j’ai 16 ans et j’habite en espagne, je suis dans un lycee francais, j’ai un petit frere de 14 ans et j’habite avec ma mere. Ma situation familiale est assez compliquer et tendu, mon pere travaille en Afrique pour nous payer notre ecole qui est tres cher vue que c’est un lycee international et priver. Mon pere et moi avons une tres mauvaise relation.. Il est manipulateur et parvient toujours par me faire culpabiliser, me mettre malalaise par des petits commentaires comme : «tu es conne» , «tu es grosse», «tu es vrm autiste…» et je n’en peux plus de me sentir toujours rabaisser par une personne qui est supposer eprouver de l’amour et de la tendresse envers moi et mon frere. Quand j’avais 12 ans et mon frere 10, mon pere a commencer a boire, il est devenu agressif et nous a donc eduquer dans une ambience de terreure et de chantage et de violence psyco comme physique. J’ai commencer a lui repondre ne pas me laisser faire pas tomber dans sont jeu, et il a maintenant compris l’erreur qu’il a fait et il essaye de ce faire pardonner. Mais meme en essayant d’evoluer il reste la meme personne avec les meme techniques d’education qui sont vrm tres pejoratives et douloureuses. Je suis rentrer en depression depuis la rentrer de cette annee, j’ai un seule but en tete: sortir de cette ecole elite qui me rend plus triste et deprimer qu’autre chose et partir en france. Je suis malheureusement encore mineur donc je ne peux pas prendre de decision aussi importante, mon pere ne veut pas que je parte il dit que je ne suis pas assez mature et intelligente pour pouvoir etre autonome. Mais ça fait deja un petit moment que je vis seule avec mon fere car notre maman n’a pas le temps pour nous elle travaille tout le temps, et si mon pere serait a la maison plus souvant il pourait le remarquer. je ne peux vrm plus rester ici, mes amis de france me manque, et ceux que j’ai ici savent que me critiquer. J’ai confiance en personne et je veux poursuivre ma scolariter en france et pouvoir poursuivre un parcour qui mene a la psycologie. je ne sais plus quoi faire.
Salut. Je suis un garçon et j’ai 21 ans. Je suis un étudiant dans la langue russe. Je suis dans le même cas que vous. En effet, moi aussi j’ai des parents toxiques. Cela a commencé à l’âge de mes 18 ans. À cet âge, c’est la majorité légale (droit de prendre les décisions, agir comme un grand…). Mes parents n’ont pas respecté mon choix. À partir de cet âge, ils ont commencé à me surveiller (ou devrais je dire harceler) pour mon travail, mes activités que je fais… A chaque fois que je fais une connerie (désolé pour le mot), ils me rabaissent et me comparent à quelqu’un d’autre. Ils me démotivent dans mes projets, me disent sans cesse que je sais rien faire ou que je suis pas manuel. Ils m’humilient et ne sont mêmes pas conscients que je suis dyspraxiques. Normalement, ils le savent mais ne veulent pas faire d’effort. Et si je me plains de tous ces problèmes, ils me menacent de me frapper ou ils me frappent directement tellement ils sont susceptibles. Mes parents m’empêchent de prendre des décisions, et donc ils me forcent à faire des trucs que je ne veux pas faire. Ils me forcent à avouer la vérité alors que si mes parents mentent, je dois rien dire. D’après eux, je suis qu’un gamin immature et irresponsable. Je vais vous parler d’une autre chose : j’ai supplié mes parents pour qu’ils m’inscrivent au code pour passer le permis de conduire lorsque j’étais en terminale. Ils m’ont inscris lorsque j’allais commencer les enseignements supérieurs. Mes propres parents m’épuisent au point de ne plus jamais les revoir.
Bonjour,
Je vois dans votre situation comme dans celle des autres témoignages ou même ma prorpe histoire, que nos propres parents sont parfois plus nocifs et apportent plus de désagrément que de bonnes choses.
Notre société nous impose parce qu’il s’agit de nos parents « d’endurer » tout leur débordement et comportements irrationnels ou source de souffrance pour leurs enfants.
Mais après des années de souffrance et de réflexion, j’en arrive à la conclusion et surtout à l’issue de me dire et de pouvoir vous dire que « ce n’est pas parce qu’il s’agit de nos parents que nous devons tout subir ». C’est courageux de dire stop, je ne veux pas de cette situation. C’est courageux de partir. et même si notre société ne le reconnaît pas encore, vue tous les commentaires que je peux voir, il y a belle et bien l’amorce d’une évolution des mentalités. Pourquoi subir une violence psychologique, n’est ce pas comparable à une souffrance physique ? Parfois il faut écouter ce que nous ressentons et par expérience c’est souvent nos ressentis qui sont justes …. mais je suis bien consciente pour être moi meme dans cette situation que couper les ponts et s’éloigner de parents destructeurs n’est pas chose facile. Mais pour vivre sa propre vie c’est parfois nécessaire. je vous souhaite bon courage.
Bonjour,
Je me retrouve un peu dans cette situation mais j’ai dû mal à exprimer mon mal-être vis à vis de tout ça…
À part avec mon mari, je n’arrive pas à en parler et donc à me détacher de tout ça….
Jai un père toxique et une mère qui approuve tous ce qu’il dit…
J’ai aujourd’hui 34 ans, 2 enfants et 1 mari.
Mes choix de vie n’ont jamais plus à mon père… Ça a commencé quand j’ai souhaité faire un bac SMS, pas assez bien à ses yeux, du coup il m’a forcé à faire un bac S, ce qui a causé mon échec puisque j’ai redoublé et fini en L, à 1000 lieux de ce que je voulais faire….
Après le bac je suis rentrée à l’école d’infirmière, j’avais la chance de pouvoir choisir mon école ayant réussi 3 concours sur les 4 passés. Mon choix n’a pas été approuvé et mon père m’a reproché d’avoir fait exprès de rater le concours près de chez eux.. . Mais il n’a pas eu le choix que de me laissé partir… À partir de ce moment là, tout à été crescendo… J’ai eu mon diplôme, mais mes notes n’étaient pas assez satisfaisante, le mieux où j’ai choisi d’exercer n’était pas assez bien, mon copain de l’époque n’était pas fait pour moi, mon appart était pourri, etc… Bref… J’ai ensuite rencontré mon mari, nous avons trouvéq une jolie maison en location puis je suis tombée enceinte de notre premier enfant. La maison était nulle, trop loin de tout, j’étais trop jeune pour avoir un enfant (26 ans !!!), pas assez stable, etc… Nous avons déménagés pour une autre maison plus proche de nos boulots et dans un village dynamique, mais tjs en location car nous venions d’acheter une voiture neuve et qu’on voulait attendre un peu. Là encore, nos choix étaient nuls, voiture trop grosse, trop chère, achat inutile, maison nulle pour notre fils etc… À cette même période, mon grand frère a terminé ses études (ingénieur en aéronautique, thèse, etc…) et mon petit frère venait d’obtenir son BTS… Et là encore les remarques ont montées d’un cran et il a commencé à me comparer sans cesse à mes 2 frères. Notre mariage nous a été imposés, nous n’avons quasiment rien eu à dire… Et tout est sujet à critiques, même minimes soit elles, misent bout à bout, c’est difficile à digérer…
J’ai entrepris une thérapie l’année dernière auprès d’une psychologue qui m’a dit que j’avais mis mon père sur un pied d’estale qui fait qu’aujourd’hui je souffre d’une situation que je trouvais normale il y a qq années, que je dois réussir à me détacher et à prendre de la distance, mais c’est pas si facile… Pendant cette thérapie, mon père prenait de mes nouvelles par le biais de mon mari, qui a fini par me le dire… Sur le moment j’ai trouvé ça bien et je me suis dit qu’il avait peut être mis un peu d’eau dans son vin mais avec le recul je me rend compte que c’était une façon de garder le contrôle sur moi et mon mari…
Bref, c’est compliqué… Je me suis confiée à ma mère sur ces choses qui me font du mal, mais ça n’a rien changé… Quand je suis avec eux, ça se passe généralement bien malgré les quelques petits pics de mon père. Mais dès que l’un de mes 2 frères ou les 2 sont là, je me sens mal à l’aise, pas à ma place, comme étrangère à cette famille qui est pourtant la mienne… Tout ce que je fais est mal, nul etc… Et je n’ai pas le contrôle sur mes enfants dès qu’ils sont là, je n’ai limite pas mon mot à dire, ce qui n’est pas le cas avec les enfants de mon grand frère. De même que toutes les décisions que je prends sont contredises, quand on fait des week-end familiaux, ils me demandent ce que nous voulons faire et finissent toujours pas me dire que non, on va plutôt faire ce que mes frères ont envie de faire… Nous ne sommes pas assez bien pour lui, nous ne gagnons pas assez bien notre vie pour lui et quand je lui dit que nous ne pouvons pas faire certaines choses car nous n’en n’avons pas les moyens, il me dit que nous avons ratés notre vie et qu’on a qu’à gagner au loto ! Mais moi je ne veux pas de ça…
J’en ai perdu confiance en moi c’est terrible… Mais je n’arrive pas à prendre mes distances car j’ai comme une forme de dépendance à mes parents, tjs cette peur de les décevoir, etc… Bref je ne suis pas encore prête à passer le cap mais cet article m’a fait prendre conscience de certaines choses et je vais essayer de mettre en œuvre ces conseils petits à petits…
vous êtes quelqu’un de génial et avez la chance d’avoir un mari et des enfants aimants, vous faites un métier merveilleux et vous avez construit quelque chose, continuez sur cette lancée. et n’oubliez pas c ‘est vous qui donnez la force aux gens qui vous font du mal. Si vous ne leur donnez pas leur force, ils ne peuvent rien contre vous.
je vis la meme situation .. je ne suis pas assez bien et je ne l’ai jamais ete j’ai ete poussee dans la voie S aussi j’ai redoublee mais il a fallu que j’y reste meme si on m’avait propose B a l’epoque .. apres il a fallu que je commence un iut informatique pour ensuite eventuellement faire ingenieur (mon frere a reussi il etait deja ingenieur et il a epouse une ingenieure et ses deux fils sont ingenieurs comme mon pere ) ….ben finalement j’ai rate car ca ne me plaisait pas je suis partie en fac (pas de reproche que je depense leur fric comme ca ) et j’ai eu ma matrise avec mention en 4 ans j’aurai voulu faire un doctorat mais ca voulait dire rester chez eux et ca je ne pouvai pas ..pendant mes etudes ils m’ont stresse en me disant j’allais terminer au chomage et ne jamais trouver de boulot ..j’ai passe un concours et je suis devenur fonctionnaire mais la encore ce n’etait pas encore bien car les fonctionnaires sont de feneants .. apres j’ai rencontre mon premier mari il ne leur a pas plu et comme vous ils voulait faire leur mariage alors on n’a fait qu’un mariage civil car on ne voulait pas d’un mariage ou les seuls invites auraient ete les retour d’invitation des mariages auxquels mes parents ont ete invites ! apres j’ai coupe les ponts pendant deux ans je n’ai jamais ete aussi bien mais voila j’ai fait un burn out car ils me harcelaient .. la j’ai divorce et je me suis malheureusement remariee et mon mari a decide de renouer les liens avec mes parents retour de l’horreur .. malgre la therapie je n’ai pas reussi a reprendre pied du fait du harcelement de mon mari et de mes parents pour qui mon nouveau mari n’etait pas encore bien ..et feneant ..
auj je decouvre la definition de parents toxiques et je vois que c’est ca me stresser tout le temps et me critiquer me comparer aux autres me donner des exemples de gens malades qui se sont remis plus vite que moi ..me faire culpabiliser de leur vie a cause de tout le stress qu’ils ont a cause de moi ils me harcelement pour un rien.. je n’ai jamais ete aussi heureuse que pendant ma periode en fac autonome .. auj je reentamme un long parcours vers une reconversion mais la encore c’est pas bien et ils ont tout un tas de truc a me faire faire alors que je fais du 12h par jour .. ils s’en foutent en fait tout ce qu’ils veulent c’est me critiquer et pouvoir me voir venir les aider quand ils ne seront plus autonomes (ils me l’ont dit mais j’habite a 400 bornes et c’etait volontaire mais jamais il ne se sont poses la question ) je fais un therapie depuis 14 ans mais tant qu’ils seront dans mes pattes je n »evoluerai pas car c’est toujours du stress ..je crois qu’il faut dans nos cas regarder les batons qu’on a eu dans nos vies a cause d’eux et en prendre conscience et limiter au max les contacts on n’a rien a nous reprocher c’est eux qui creeent les pbs pas nous .. un bon psy peut aider ..et c’est pas une tare ! bon courage
Bonjour,
J’ai besoin d’aide.
Comment passe ton le cap ? au bout d’une 40ène d’année j’ai enfin après plusieurs année de psychiatre, de tentative de retour vers mes parents … j’ai enfin compris qu’il n’y aurait pas de solution que ma mère est une perverse narcissique et mère castrante et que mon père est lui un castré. J’ai évolué dans un environnement parental toxique. Je comprends aujourd’hui l’origine de ma mort psychologique à petit feu. Je sais que je dois rompre, me tenir loin d’eux …. mais même si c’est nécessaire, et vitale, cela me fait terriblement mal. Terriblement mal de passer pour celle qui part, qui abandonne, encore une fois on va dire et bien voilà c’est elle qui nous fait du mal. Mais ils ne voient pas que si je pars c’est parce qu’ils m’y ont obligé. Ce sont eux qui me réduisent au silence, à l’absence …. à me couper du reste de ma famille …. c’est une terrible blessure psychologique, parce que la malade ce n’est pas moi, c’est ma mère. Et mon père qui cautionne tout ce qu’elle dit.
Bien sur quel lâche il préfère que l’attention de celle qui rend malheurseuse ma mère soit moi plutôt que lui. Il est tranquille pendant qu’elle s’acharne sur moi, elle lui fou la paix …. c’est tellement minable …. je n’aurais jamais pensé un jour être dans cette situation, c’est tellement à l’inverse de ce que je souhaitais, à l’inverse de ce que j’ai toujours fait pour eux. Ils n’auront jamais vu qui je suis, ils n’auront jamais su apprécier tout le positif que j’ai donné. mes parents m’ont détruite si je veux revivre, je dois fuir mais c’est si difficile à assumer. Comment surmonter cela, j’ai besoin de conseils de personne qui ont vécu cette rupture avec leur parent.
Bonjour canyonland,
Je me retrouve tout à fait dans votre lettre. J’ai pris aussi le parti de tourner les talons sur qui me donnait tant de douleur à vivre simplement ma vie. Il m’a fallu 43 ans et donc à présent ça fait 10 ans que je n’ai plus de contacts avec mes parents. Comme vous, j’ai un papa qui s’est laissé mener par le bout du nez malgré son intelligence. Ca m’a fait mal bien sûr mais au bout du compte je leur ai écrit une lettre il y a 1 an- ainsi qu’à ma soeur qui est la même que la mère- pour leur dire ce que je pensais et regretter qu’ils ne me connaîtront jamais finalement! Je n’ai pas eu de réponse comme je m’y attendais mais mon coeur était soulagé. A présent je vis! Je n’attends plus rien d’eux et surtout pas leurs méchancetés gratuites ou leurs mensonges à mon propos. J’ai lu récemment un livre qui m’a montré que ma décision était la bonne – Les parents manipulateurs d’Isabelle Nazare-Aga. Je retrouvais ma vie sur chaque page!
Osez-vivre et sourire et rire car vous y avez droit tout simplement ! ils n’ont pas de droit de regard sur votre vie car vous êtes adulte et que vous avez votre libre arbitre à présent.
Anne
Bonjour,
Merci pour votre réponse. Cela fait du bien de rencontrer des personnes comme vous qui sachent de quoi je parle.
Je sais que pour que je puisse vivre et profiter de mon bonheur je dois couper les ponts.
Mais maintenant que je n’alimente plus aucune discussion ou aucun échange avec mes parents, ils trouvent le moyens par l’intermédiaire de mes enfants, de continuer à me détruire.
Récemment mon fils aîné s’est violemment « engueulé » avec ma mère par téléphone (appel qu’il a passé avant de rentrer en cours).
Je n’ai pas été dans un 1er temps informé par mon fils qu’il avait eu ma mère au téléphone.
Ce n’est que 2 jours après qu’il m’a expliqué qu’il avait eu un échange avec ma mère, et qu’il ne voulait plus la voir. Il a vu à 17 ans et 1/2 qui elle était, il m’a dit qu’elle avait retiré son masque et que ses propos ont été violents et difficiles à encaisser pour lui. Il en a parlé plus en détails avec son père, je n’ai pas tout su … peut être a t il voulu me protéger. Il est en terminale, capable de structurer sa réflexion et porter son propre jugement sur son entourage. Il a eu de nombreux échanges par mail avec ses grands parents ; mails que je n’ai pas lu.
Suite à cela j’ai reçu un mail de ma mère, elle m’incriminait à nouveau en me disant « que dis tu à notre sujet pour que tes enfants aient si peu d’estime de nous » ! …. voilà encore une fois elle m’a rendu responsable de ses débordements. Incapable d’analyser que si mon fils en est venu à réagir ainsi c’était uniquement suite à l’échange verbale qu’il avait eu avec elle. Elle m’a déjà détruite mais je ne peux pas complètement tourner la page et avancer car ce type d’intrusion me blesse et m’anéantie encore un peu plus.
Dans l’un des courriers que mes parents ont envoyés à nos enfants, ils écrivent à nos enfants « vous nous direz bien si vous avez bien eu notre courrier » ! comme si nous avions l’habitude de faire de la rétention d’informations !
Mon autre fils de 14 ans est parti en vacances chez eux pour ces vacances comme à la plupart des vacances, mais ils continuent de nous écrire que nous les privons de leurs petites enfants, ils disent en parlant de leurs petits enfants « vous nous manquez » …. ils font leur malheureux sans voir ce qu’ils ont … sans prendre en considération que nos enfants ont aussi leur vie et leurs amis et qu’ils ne peuvent pas (distance géographique) et ne veulent pas passer tous leur week end chez leur grand parent.
Ma mère m’a détruite et mon père continue de cautionner cette destruction. Cela fait 30 ans que ça dure ! avec du recul je me dis que je ne dois plus être réceptive à leur piques, mais ils me font tomber à chaque fois ; ils m’empêchent d’être moi à toujours me faire , nous faire (mon mari et moi) passer pour les mauvais. Dans le cadre de certaines réunions de famille, je dois encore les croiser, et c’est excessivement difficile de me retrouver en face de ce père qui est incapable de se positionner et d’évaluer la situation lucidement. me retrouver en face et l’entendre me dire que je leur fais de la peine, que je ne vais pas bien que je les prive …. est insupportable …. j’envisage de donner une explication définitive à l’ensemble de ma famille afin de justifier que je ne veux plus croiser du tout mes parents. je reprends vos dernières phrases « osez vivre et sourire » vous ne savez pas à quel point j’en ai envie, à quel point j’ai envie et besoin de me retrouver et de vivre enfin pour moi, mais mes réflexions mes pensées ne me laissent pas d’espace surtout lorsque je reçois un quelconque contact (mail ou réunion familiale) de mes parents … en fait j’arrive à être bien uniquement lorsque je n’ai aucun contact avec eux, mais ils arrivent encore à passer (via les enfants) pour me toucher. je sais ce que je dois faire mais je n’y parviens pas. Je vous remercie pour le conseil de lecture.
bonjour,
je relis votre texte et c’est fou comme certaines phrases s’associent complètement à ma situation. vous écrivez « ils ne me connaîtront jamais finalement » … c’est exactement ce que je dis de mes parents ; ils ne savent pas qui je suis, ils se sont inventé un personnage pour « moi » pour me définir qui ne correspond en aucun cas à ma personnalité. et c’est un frein car il est difficile d’être soit en s’entendant dire que l’on est égoïste méchante ….
je n’arrive pas et toujours pas après toutes ces années …. à intégrer le fait que mon père ne secoue pas ma mère en lui disant qu’elle se trompe …. mais en fait si au fond j’ai analysé pourquoi il agit comme cela…. ma mère tient mon père …. dans le sens que s’il la contredit il aura le sentiment de la perdre et la plus grande peur de mon père c’est de perdre ma mère, pour elle il fera tout inconditionnellement … au détriment de ces enfants. elle sait que finalement elle l’a à ces côtés, elle se sert de lui. il est son pantin. et lui joue se rôle car mon père est incapable de rentrer en confilt ou de s’opposer à elle. il est incapable d’argumenter contre elle. ce couple est maléfique, toxique, il est anéantissant pour moi, et pour mon frère très loin d’avoir fait l’analyse de la situation mais qui pourtant devrait le faire vu sa vie de merde. parfois je pense faire un colis de tous mes écrits de décharge psychologique à ma mère … mais sachant comme elle nous l’avait dit il y a un an …. » que l’on allait un peu mieux » sous entendu que finalement nous étions les seuls responsables mais elle non …. je pense que cela ne servirait à rien. mais je sais qu’au fond d’elle ou de manière inconsciente elle sait …. mais se l’avouer ou me l’avouer l’obligerait à se mettre en face de ce qui l’a rend réelement malheureuse et l’obilgerait à se remettre elle en question et ça ma mère ne le fera jamais, elle n’est jamais responsable de quoi que se soit. elle aura détruit ma vie, celle de mon frère et mon père aura été passif et consentant de ses actions. je jure de ne pas faire endurer cela à mes garçons … nous discutons beaucoup, ils savent qu’ils doivent me dire lorsque je sors de la route … j’espère qu’ils le feront toujours.
Bonjour Anne,
Je reviens à nouveau vers vous pour vous remercier de m’avoir conseillé de lire le livre d’Isabelle Nazare-Aga. Cette lecture me soulage, me libère et me permets aujourd’hui d’avancer d’un nouveau pas dans ma réflexion et compréhension. Aussi incroyable que cela paraisse, je viens de trouver dans cette ouvrage la réponse, le mot que je ressentais depuis de nombreuses années en ce qui concerne mes parents …. ma mère …. c’est le mot pathologie. il y a plusieurs années de cela, j’avais pris le téléphone et contacté le médecin traitant de ma mère en lui disant qu’il y avait quelque chose qui n’allait pas chez elle, il m’avait répondu que la démarche devait venir d’elle. cette épisode me permet de comprendre maintenant qu’elle n’aurait jamais pu d’elle même se signaler à son médecin car elle n’a pas conscience de sa maladie, mais aussi il me permet à moi de déculpabiliser d’avoir passer cet appel car j’ai longtemps douter à savoir si le problème venait de moi ou de ma mère. je sais grâce à ce livre que ce que je ressentais était belle et bien vrai, que ce mal être que je ressentais le mal être qu’elle me faisait ressentir sans aucun mot et qui me pesait existait vraiment, mais qu’à l’époque je n’avais pas toutes les clés pour comprendre alors cela restait à l’état du ressenti et du mal être. Grâce à ce livre j’ai compris aussi qu’il y a un dénominateur commun à ma mère, mon frère, et moi … c’est mon père et son incapacité à se positionner à prendre du recul et faire preuve d’objectivité sur une situation. Mon frère en a fait les frais dès son plus jeune âge, pour ma part je me suis faite oublier en étant la petite fille modèle, sage discrète sans vague. Jusqu’à l’aolescence … ou j’ai provoqué mes parents et mon père. surement parce que j’étais en attente d’un positionnement (que je n’ai jamais obtenu de sa part) … et ma mère à elle aussi souffert de l’absence, non pas physique mais psychologique de mon père. Elle a toujours dit et répèté qu’elle avait du jouer le rôle du père et de la mère face à mon frère et moi. et ça je ne peux que lui accorder. Pour mon fère les choses ont été dès sa naissance accablantes. j’ai toujours entendu ma mère dire que mon frère était turbulent, incontrôlable … mais pour connaître la petite enfance en tant que professionnelle, je sais qu’un enfant devient ce que l’on fait de lui, et surtout en bas âge les agissements sont toujours le reflet d’un dysfonctionnement souvent lié à l’entourage. Donc dès le départ mon frère lui aussi n’a pas été protégé par mon père, ce dernier à laissé ma mère dire de lui qu’il la rendait folle, allant jusqu’à le mettre en pension …. elle a reporté son mal être à ce moment là sur mon frère et mon père à comme toujours laissé faire et laissé dire. j’ai toujours dit que ma mère m’avait empêché (c’était de l’ordre du ressenti) de construire une relation avec mon père et mon frère … en dénigrant mon frère et mon père ouvertement, et en se faisant passer pour malheureuse car indirectement elle était entrain de me faire comprendre que mon père et mon frère la rendait malheureuse … du coup comment étant enfant je pouvais aimer ou construire une relation avec des personnes qui m’étaient dépeint comme étant source de douleur pour la personne que je suis censée aimer ? …. j’ai voulu il y a quelques années, sans raison fondée dire à mon frère que je l’aimais, que je regrettais d’avoir peut être été méchante avec lui ….. si j’en arrive à vouloir faire cela ou même à ressentire cela, ça veut bien dire que j’ai réalisé que notre enfance n’avait pas été construite sur de bonnes bases ….. mais mon frère est loin de toute cette analyse. peut être que pour moi elle a été possible parce que je vis loin de chez mes parents …. que j’ai un conjoint qui m’aide à réfléchir …. mais pour mon fère qui est retourné vivre à 40 ans chez mes parents …. peut il voir et comprendre tout cela …. la raison pour laquelle il est retourné vivre chez mes parents est tout de même une énorme alarme …. comme faire semblant de la part de mes parents de ne pas voir, de ne pas comprendre ? …….. pour en revenir à la lecture Les Parents Manipulateurs ; cela va me permettre de ne plus culpabiliser de tourner définitivement les talons à mes parents, pour me protéger et me reconstruire. ce livre va me permettre de commencer à me réparer.
j’ai aussi fait la lettre en disant que je souffrais ils ont pris ca comme comment dire que je n’etais pas bien dans ma tete alors que c’etait un travail construit avec le psy pendant de longues seances lui meme a dit qu’elle etait superbe ma lettre mais voila ils ne l’ont meme pas lu m’ont il dit ..auj apres une rupture une reprise des relations contre mon gre (j’ai eu pitie ) ben je m’apprete a faire une autre rupture car ils ne veulent pas se remettre en cause donc je dois apprendre a vivre ma vie comme je peux ..
Salut Canyonland, je suis exactement dans la même situation que toi j’en peux plus d’eux depuis que j’ai 2 ans !
Bonjour,
Quelle solution ?
Je sais maintenant que je dois couper les ponts pour survivre et être heureuse, mais comment faire concrètement alors que les réunions de famille et mes enfants m’oblige un minimum de contact ? c’est aussi douloureux de se dire que si je pars, c’est ma famille au sens large du terme (cousins cousines tantes …) que je laisse ….
j’ai l’impression de devoir m’isoler pour pourvoir vivre et c’est compliqué à intégrer.
merci pour votre commentaire. qu’avez vous fait pour vous sortir de cette situation ?
Bonjour,
Merci pour votre article, je trouve un peu d’espoir et je viens à croire que je ne suis pas folle !
Ma mère fait une obsession sur moi depuis mon plus jeune âge, quand on me critiquait à l’école à cause de mon poids, elle me disait « c’est toi le problème ma chérie, pas les autres, tu n’as qu’à maigrir »
Le soucis ne s’est pas arrangé avec le temps, depuis mon adolescence, elle contrôle absolument tout (mes amies, mes copains, mes opinions politiques, mon point de vue de la vie, mes vêtements, mon maquillage, la manière dont je me lave et même la manière dont je vais aux toilettes )
J’ai développé une boulimie depuis 14 15 ans, j’ai aujourd’hui 20 ans, aucune confiance en moi, j’ai grandi et je grandi encore dans les insultes (sale pute, salope, tu es bonne qu’à te faire engraissé..), menaces de mort (surveille ce que je mets dans ton assiette, je te conseille de dormir avec un oeil ouvert), de souhaits absurdes (ca te ferai du bien de te faire violer, tu changerai ta manière de t’habiller comme ca), la violence physique (étranglements, gifles, coups).
Elle dit que tout cela est ma faute, si elle est en situation de handicap.
J’en fait des crises d’angoisse la nuit, ca fait bientôt 3 semaines que je suis sur les nerfs, agressive avec tout le monde, renfermée, déprimée.
Elle a réussi à m’isoler de ma famille (ma grand mere pense que c’est de ma faute tout cela, mon pere ne dit rien face à ses agissements alors qu’il en témoin, tout le monde est dans le déni et la prend en pitié elle et ils l’admirent car elle est une mère « exemplaire »)
Je reve souvent que je la tue, c’est triste mais j’ai développé cet esprit la, je la frappe pour me défendre de ces attaques physiques et morales et j’ai de nombreuses fois tenter de me suicider et je tente encore.
Pour elle, je ne suis aimable de personne, je suis un « phoque échoué sur une plage », « une grosse qui essaie de se montrer », j’en viens même à douter de l’amour de mon copain à cause de cela, je suis à bout, j’ai beau chercher des aides sociales sur le net, j’ai l’impression que je n’ai droit à rien puisque la majorité des violences sont psychologiques.
Elle souhaite me supprimer totalement toute personnalité propre (pas le droit de faire une coloration de cheveux, de m’habiller comme je le souhaite, de me maquiller comme je le souhaite, d’avoir mon propre point de vue, ma propre opinion politique, de fréquenter des personnes que je choisis moi, de faire les études que je souhaite moi, de postuler pour un travail ou je souhaite moi…)
Je ne sais plus quoi faire, si vous avez des conseils en matière psychologique ou bien concernant des aides sociales je suis prise, merci beaucoup d’avance et désolée l’énorme pavé que je vous impose.
Salut, je sure que ça va passer avec le temps, je suis moi en train d’essayé de réapprendre à vivre ( c’est fou ) mais je pense qu’il est important de se défaire de cette attechement qu’on a tous avec nos parents depuis tout petit.
Bonjour,
Le seul conseil que je peux vous donner c’est partez ! fuyez ! allez vivre ailleurs loin très loin de ces personnes qui vous tiennent des propos de cette violence. Vous n’avez pas à subir cela !
Bonjours
J’ai lu votre article du début a la fin dans tous ce que vous avez dit je ne conteste rien sauf une chose un moment vous nous demander de répondre au parent mais le fait de répondre au parent peut être très néfaste pour nous du style cette fille elle est très insolente ect… Et puis personnellement j’ai un grand frère qui protège ma mère qu’elle est raison ou tord il m’oblige a me la fermé en me menacant de me faire du mal mais comment résister au fait de répondre au parent si l’ont sais que derrière tous sera rapporter au frère ?
et aussi au niveau sentiment je suis fragile a cause de ma famille ou plutot a cause de ma mere et mon frere et c’est une chose que je dois me reprendre en main parce que j’ai 16 ans bien que je fait la dure ( qui craque pas) la fille social au fond je suis très effondré.
Bonjour, moi c’est Stéphane. Je me suis reconnu dans ce que vous dite, car moi aussi je vis avec un père toxique depuis 16 ans. il passe son à me rabaisser, que je suis stupide, bon à rien, que c’est à cause de ma stupidité que j’avais des problème à l’école. le pire en plus c’est un psychologue à trois doctorat, avec un doctorat en économie, en lettre et en psychologie social. il ya des fois il me dénigre tellement que j’ai des envie de suicide. une fois j’ai tenté de me suicider à cause de son comportement toxique. pourtant il sait très bien en tant psychologue, ce qu’un propos blessant et méprisant peut faire un individu mais pourtant, il persiste dans cette voix là. il m’a battu quand j’étais petit ainsi que mes trois frères et ma petite sœur; et devant ses amis, et les étrangers il va se faire passer pour un père qui n’a jamais levé le doigt sur ses propres enfants, en disant haut et fort qu’il ne nous a jamais battu, en me disant en face qu’il ne m’a jamais battu de toutes sa vie. je me rappelle une fois quand j’étais petit, je jouais avec mon frère et les autres enfant du même âge que nous. ils étaient venue à la maison, pendant que l’on s’amusait dans le garage l’un des enfant sans faire exprès à fermer la portière de la voiture claquant le doigt de mon frère aîné. mon frère aîné pleurait à cause de son doigt blessé, il est allé voir mon père pour que celui-ci le soigne, tout en étant en larmes, en sanglots. deviner ce que mon père a fait. pendant que mon frère aîné pleurait à cause de la douleur, de la blessure qu’il avait au doigt, mon père lui a donné une baffle, une gifle tout en continuant de le soigner, à lui faire des reproches et à le rabaisser. j’étais choqué, horrifié. mon père est diabétique, et me disait que je devais faire du sport pour éviter d’avoir la même maladie que lui. ce qui était logique, et j’ai suivi ce conseil jusqu’a trouver une méthode sportive pour maigrir et qui marche. du renforcement musculaire, abdo et gym trois fois par jour après le repas et une course le weekend. mon père quand à lui, il court 2 fois dans la semaines et fait de la marche. dès fois quand je n’avais pas le temps de courrir à cause des tâches domestique que je dois faire pour lui, comme lui faire à manger, changer le drap de son lit, faire son lit, faire le ménage à la maison, faire les course pour la semaines pour manger et plein d’autre encore ect etc….. ces renforcement musculaires et la gym que je fait 3 fois par jour me permettent de mettre mon corps en alerte au cas où je ne sauterais une course durant le week end. quand mon père vois les effort que je fais pour suivre ces conseil voici ce qu’il me dit : » ce que tu fais ça ne sert à rien! tu ne fais pas assez d’exercices! tu dois courrir plus souvent pour maintenir ton coeur! ce que tu fais ne me satisfait pas! je vois que t’as trouver un moyen pour maigrir, c’est bien ! mais tu dois arrêter! car tu vas tomber malade si continue comme ça et t’as pas de sécurité social! si tu tombe malades tu me causeras des problème! j’ai dirigé des département sportif, je sais comment fonctionne le corps humains; tu crois savoir mieux que moi ! tu ne court pas assez ton coeur va se fragiliser » alors qu’avant quand je ne faisait pas du tout du sport et que je prenais du poids c’était ça : » tu dois courrir, tu ne fais pas assez de sport tu risque d’attraper le diabète » maintenant que je fais du sport régulièrement même si c’est différent de ce qu’il fait! il ma dit : » ce que tu fais ne sert à rien, tu ne court pas assez ! tu ne court seulement qu’une fois mois ». Et quand je tente de m’expliquer, de dire ce que je pense. il me dit de la fermer, que je trouve des prétexte pour me plaindre, que je ne m’organise pas assez, que les tâches que je fais ne sont rien par rapport à ce que lui; il fait dans l’entreprise, que la seule chose que je fais, c’est de lui apporter à manger. ( pour rappel, nous avons une entreprise familiale dans le secteur de l’informatique basé sur l’édition de logiciel de comptabilité de gestion et on a encore aucun revenu, aucune vente aucune recette, aucun salaire on travaille 24 heure sur 24. On a été expulsés de chez nous par les juissiers et des personnes qui se trouve dans l’entourage de mon père nous héberge, donc ce qui fait qu’on a pas de toit et je vis pratiquement dans la même chambre que mon Géniteur, je dors avec lui). alors que moi en étant en plus son domestique personnel, je suis son salariés, je travaille avec lui dans l’entreprise 24 h sur 24 sans salaire !!!! Vous imaginez un peu ma souffrance! Un autre point que je voulais soulever concerant mon psychologue de père à trois doctorat lorsque je fait une petite erreur, ou lorsque j’oublie quelque chose, ce qui est humain car cela lui arrive souvant voici ce qu’il me sort : » t’es vraiment stupide! irréfléchi! t’as pas de mémoire! c’est à cause de ça que tu avais des problèmes à l’école, heureusement que je suis là! car si je n’étais pas là! je ne sais pas ce que tu serais devenu ». Dès fois quand je ne fais rien il me critique, passe son temps à se moquer; à faire des raillerie à mon sujet tout en continuant à me rabaisser, à m’humilier devant ses amis, devant les étrangers et lorsqu’il dépasse les limites et que je réagis violemment ou bien que je décide de ne plus communiquer avec lui voici ce qu’il me sort: » tu es trop susceptible, tu t’énerves pour un rien, tu boude, tu grogne tout le temps, tu ne supporte pas quand on te dit la vérité! ( qui sont des mensonges déguisés, maquillés, des prétextes pour prendre un malin plaisir à me détruire psychologiquement pour se sentir supérieur, pour avoir de l’emprise sur moi ce qui est vraiment mesquin de sa part) tu fais de la mesquinerie! t’es égoïste, tu ne pense qu’à toi! tu ne sais pas le boulot que je me tape ici! tu ne fous rien! tu ne sert à rien! la seule chose que tu sais faire c’est de m’apporter à manger! c’est ta seule performance! n’oublie pas que je suis ton père! tu n’es pas mon égal! je vais faire les course pour que tu manges! ( alors qu’en réalité les seules course qu’il fait c’est d’acheter ses pains complet et ce qu’il prend pour son régime en tant que diabétique et les même pains complet pour moi. Alors que moi, je vais faire les course pour ce qu’il va manger le midi et le soir non seulement pour lui mais pour les autres aussi qui nous héberge pour apporter ma contribution dans cette cohabitation) Si tu veux que je donne des ordres, je t’en donnerais! t’es quelqu’un de méchant! je sortirai les comptes tu va voir! »
Une fois je m’étais cogner l’orteil, mon ongle s’était déplacer, jusqu’à ce que se crée un abcès à cet endroit là, et je n’avais pas bien soigné cet abcès là. il a commencer à me dénigrer, à me rabaisser et m’humilier en me disant que je ne sais pas contrôler mon corps, le genre de d’ineptie que me sort par le troue du nez. et à la fin de sa chanson méprisante, voici que ce qu’il me dit après ça: » t’es stupide! tu ne sais même pas te soigner! j’espère que t’as retenue la leçon, parce que lorsque t’aura des enfants, je ne sais pas ce que tu feras » (de façon insidieuse et indirect que je suis tellement stupide que je pourrais m’être mes enfants en danger voilà ce qu’il voulu me dire de manière très indirect)! lorsqu’il m’a dit cela c’était la goutte qui a fait déborder le vase. la goutte de trop! j’ai ouvert la fenêtre de la cuisine pour tenter de me suicider en voulant sauter du troisième étage. mais j’y suis pas arriver…..
je me rappelle une fois il m’a dit que j’étais tellement stupide et idiot qu’il allait me psychanalyser.
Une fois quand je n’avais pas le temps de courir, il me persécutait en me disant qu’il allait utiliser la force et la violence pour m’obliger à courir et mettait même ces menaces à exécution.
Des fois il allait même à me frapper, à me violenter il y a 6 ou 7 ans de cela! et va se vanter auprès de ses amis qu’il na jamais violenter aucun de ses enfants! Des fois je me dit que vis avec un psychopate, un criminel.
Bref, je n’en peux plus, et je suis sur point de rupture, j’ai des envie de suiscide et je ne peux pas partir, car je n’ai aucune ressource, aucun revenue et mon père et moi on utilise le même compte. En clair je ne peux rien faire et totalement emprisonné et aucun moyen de m’échapper. je suis pris au piège!
Voici mon histoire, que quelqu’un m’aide parce que là! je suis psychologiquement au bord de la rupture où je pourrais tenter de me suicider à tout moment!
Voilà merci, de m’avoir lu et à bientôt…..
Bonjour,
Visiblement il vous faut de toute urgence prendre de la distance. Partez, trouvez un emploi vivez votre vie.
Je sais que c’est simple à dire, mais dans une situation comme la vôtre, il semble vitale de prendre un virage. Prenez le, la vie vaut la peine d’être vécu, mais il faut parfois faire le choix très douloureux de la rupture, et si la situation l’oblige, il faut savoir rompre avec un parent ou des parents toxiques.
Vraiment bonne change, ne lâchez pas
Bonjour Stephane. Avant toute chose, quel âge avez vous? il y a des possibilités pour les personnes dans votre cas, êtes- vous adulte?
Bonsoir, votre histoire me semble tellement triste et épouvantable. Franchement, votre père est complètement vide dans sa personne. Il a beau détenir tous les doctorats qu’il veut mais au fond c’est un sale type qui ne mérite pas d’être père ! Il est diplômé mais il n’a aucune personnalité, c’est un grand fragile, voilà pourquoi il vous rabaisse constamment pour rehausser son ego fragilisé voir inexistant. Ce que je vous souhaite, c’est de trouver la porte de sortie qui vous permettra de sortir de la cohabitation avec votre père. Tenez bon même si c’est dur. Montrez-lui que vous êtes plus intelligent que lui. Bien à vous.
j’ai aujourd’hui 70 ans et depuis son veuvage, je suis la seule à m’occuper et organiser la vie courante de cette mère qui m’a tant fait souffrir,Son attitude est identique et son fils (mon demi frère) à qui elle a donné la possibilité d »accéder à ses comptes l’a ruinée et je suis là pour l’aider.Je suis furieuse de cette situation, car elle ne veut pas accepter le problème et est limite à douter de moi alors que je n’ai pas la possibilité d’accéder a ses comptes sauf pour faire des virements.Je suis dépitée.
Pour ma part, beaucoup de similitudes avec vos récits…..moi je suis constamment mise en doute sur tout, j’ai 40 ans, et je suis heureuse dans ma vie de famille je vis loin de mes parents depuis plus de 20 ans! pour autant je culpabilise un peu d’etre loin…..je pense que si je suis partie c’est pour fuir par instinct de survie……mais je culpabilise alors je les appelle enfin ma mère car mon père ne me calcule pas du tout….
3 fois sur quatre, ma mère me casse au téléphone; elle ne me casse pas directement, elle encense un voisin, un cousin, et insiste bien sur « elle est….. » il est…. » d’un air de dire « pas comme toi »
à savoir qu’elle le fait aussi avec ma soeur…..et le pire c’est mon père lui toute la planète est mieux que lui
j’en peux plus de cette femme!!! j’en peux plus!!!!!
défois j’ai envie de la pourrir mais ce serait tellement violent qu’elle ne me parlerait plus……et ce serait moi la fautive
emme le dégoute totalement; je mets de la distance, j’appelle plus; puis la je rappelle car je culpabilise je me dis c’est mes parents etc……mais une fois de plus c’est piques sur piques! une fois je lui ai raconté un soucis avec mon conjoint, elle s’est engouffré dans la brèche pour me juger sur une attitude passée, et me dresser un portrait tellemnt odieux de moi! aidez moi svp car je prends mes distances mais la culpabilité me rattrappe ; j’ai des valeurs familiales moi
Bonjour,
je comprends lorsque vous parler de « valeurs familiales ». Moi aussi j’ai été éduquée avec « ces valeurs » ….
un schéma ou les parents sont hierarchiquement au dessus.
Mais je réalise aujourd’hui que ce n’est pas parce que se st nos parents qu’ils ont le tout savoir.
C’est comme dans la vie, certaines personnes à 30 ans fera preuve d’une maturité alors que certaines personnes à 50 ans ont un raisonnement immature.
Nous sommes encrés dans une société ou ce n’est pas bien d’aller contre ces parents parce que justement se st des parents … mais je réalise qu’après de nombreuses années de souffrance à cause de mes parents il est important de pouvoir remettre ce schéma de famille au grenier.
Se sont nos parents mais cela ne leur donne pas la toute puissance destructrice.
Je comprends que pour vous cela pose bcp de problème de conscience, mais je viens tout juste de comprendre que nous sommes parfois poussés de part l’action de ces parents destructeurs, à agir contre les schémas classiques de familles.
Je sais que c’est très dur à mettre en place, moi même je me demande vraiment comment je vais pouvoir gérer cette rupture, toute fraîche, avec mes parents.
Mais je sais maintenant que la rupture est parfois nécessaire voir indispensable pour pouvoir vivre.
Ma mère n’a jamais accepté de me laisser vivre ma vie de famille, elle est exclusive …. résultat des courses, elle m’a poussée (cela à pris 20 ans) à partir et ne plus revenir …..
la rupture définitive est donc parfois incontournable …..
Bonjour Ingrid,
Je me permets de vous répondre, vous êtes très lucide sur le comportement de votre mère mais il faut travailler sur votre culpabilité, essayez d’inverser le rapport et penchez-vous sur vous plutôt sur vos émotions que sur ses actes, cela va vous rapprocher de la vérité et vous donner la force soit de ne plus appeler soit de ne plus subir ses critiques. Courage, vous y êtes presque. Et sachez que de nombreuses personnes sont dans votre cas, vous n’êtes pas seule.
Bonjour ,j ai plus de 40 ans et c est lorsque j ai développé une maladie que j ai compris à quel point lui et elle sont toxique ,j ai un cahier ou j ecris tout le mal ,toute l exploitation, la manipulation qu ils ont exercé sur une partie de ma vie .j arrive à m en sortir grace à mon mari qui me fait entrer dans la réflexion et la discussion ensemble on en discute et on essaie de comprendre surtout les schémas à ne pas reproduire avec nos enfants et je ne leur cache rien car ils sont assez grand pour comprendre les choses et je préfère que l on en discute ensemble car les non dit et les secrets de familles font bien plus de dégâts lorsqu ils sont cachés .Ce qui m a fait tenir le coup depuis que je suis enfant est que la seule chose que je demandais etait d etre heureuse avec mon mari et nos enfants .Mon reve est devenu réel car la volonté de m en sortir a été la plus forte.la colère et la haine à chaque fois m on permis de franchir certaines étapes .Et la maladie m a permis de franchir une nouvelle épreuve le détachement pour mettre de la distance par le comportement sans avoir le poid de la culpabilité reçu depuis mon enfance de ne pas avoir suivi le parcours qu ils avaient choisi pour moi… PAR CONTRE J ACCUSE L ENTOURAGE QUI TROP SOUVENT PREFERE FERMER LES YEUX ET NE RIEN DIRE PLUTOT QUE DE LES AFFRONTER ET DE FAIRE CE QU IL FAUT POUR SAUVER DES ENFANTS DE MALTRAITANCE PSYCHOLOGIQUE … LA VIE VAUT LA PEINE D ETRE VECU LORSQUE L ON EST L ACTEUR ET PAS LE SPECTATEUR …
Bonjour, à lire votre commentaire, je me dis que j’aurai pu à quelques points près être l’auteur de votre récit. C’est troublant, mais je me sents moins seul. Je viens à 43 ans de comprendre que les parents toxiques, destructeurs, existent, qu’il y a un nom pour décrire ce que me font subir depuis des années sur le plan psychologique, mes parents. Mais mon problème est que le fait d’avoir compris et analyser les choses ne me permet pas pour le moment de voir comment me reconstruire. La seule solution pour le moment que j’ai trouvé était de rompre définitivement tous contacts. Je me retrouve seul face à une famille entière qui n’a pas les mêmes cartes en mains que moi pour comprendre et analyse la situation. Mon mari est un soutient et mon fils vient juste de comprendre par un affront avec ces grands parents, ce que je vis depuis des années avec eux. Comment gère t on une reconstruction dans le temps …. sans les personnes qui ont été nocives pendant des années pour nous ?
Fils de militaires toxiques, 42 ans, j’ai visité une cinquantaine de pays, parle trois langues, c’est jamais assez. Quoique je fasse je reste une merde comparée à ma soeur, une beauf hypocrite qui les utilisent pour garder ses rejetons quand elle part en vacances ou en weekend. Je suis moi même invivable, misantrope plaintif et égocentrique en manque d’amour. Je me retrouve donc dans tous ces commentaires, le seul hic, je n’arrive pas à trouver ma place dans ce monde individuel des selfies. Je pensais que les voyages m’aideraient, en fait ils m’ont aidé à m’ouvrir et me connaître, mais sinon, je suis celui qu’on fuit, avec qui on ne s’attarde pas. Je suis bien seul au final. Trop haineux et trop pessimiste. J’envie tous ces gens stables et élevés dans le respect et la tolérance. Le plus DIFFICILE est : payer des psy pour réparer leur merde. Merci chers parents nazis.
courage Brice, moi c’est la même!! les gens sentent que j’ai vécu quelque chose de bizarre et me fuient ou me rabaissent parce que j’arrive jamais à expliquer ce qui me dérange. Je pense aussi que si je pouvais lâcher cette vigilance qui ne me quitte jamais, même la nuit, je pourrai enfin respirer…courage on est plusieurs dans cette situation et la jeunesse actuelle en souffre déjà énormément!!
Bonjour,
Je rebondis sur votre phrase : « j’envie tous ces gens stables et élevés dans le respect et la tolérance ». Les gens cachent parfois bien leurs faiblesses. En discutant parfois de manière un peu plus intime avec des amis, lorsque l’on rentre un peu plus dans leur vie, on peut s’appercevoir que malheureusement bcp subisse des traumatismes psychologiques. Il faut malheureusement se mettre des oeillères et vivre comme la plupart le fond pour se protéger, il faut vivre de manière égoïste, faire des choix qui nous apporterons à nous d’abord du bien être …. nous n’avons qu’une vie. Lorsque l’on est pas bien on dégage cela à notre entourage, et la plupart des gens ayant déjà leur propre problème ne veule pas s’entourer d’amis négatifs. Bien sûr les amis sont là aussi pour partager les hauts et bas mais les amis sont là avant tout pour partager des moments fun …. et si l’on est positif (meme en se forçant) on attire forcément du positif … c’est un cercle vicieux qui fonctionne aussi bien dans le sens plus que dans le sens moins … je sais c’est facile à dire mais beaucoup moins à mettre en application … mais il faut au moins essayer …. bon courage
Bonjour Brice,
Votre histoire me touche beaucoup et je m’y reconnais. Je voulais juste dire de ne pas perdre espoir, de continuer à croire que vous allez trouver des personnes qui sauront vous aimer comme vous êtes et surtout de ne pas idéaliser les vies fausses des « gens stables », croyez en vous, vous avez fait le plus dur : regarder la réalité en face !
idem pour mon frere il se mele de rien mais par contre ne voit que mes parents que pour se faire payer un repas ou avant pour se faire garder les enfants et leur donner des cours particuliers .. c’est sur quand on est le favori on ne voit pas les choses de la meme maniere ..
Bonjour,
J’ai moi-même grandi avec un père toxique.
Culpabilisant, voyant toujours le verre vide, pointant du doigt et grossissant mes faiblesses, toujours rabaissant, humiliant parfois même.
Il a suivi une psychanalyse pendant 30 ans et ça n’a jamais suffit, il fait un transfert quotidien de ses problèmes sociaux (manque d’aisance sociale, manque d’ouverture aux autres, etc) sur moi, en critiquant sans arrêt et surtout en faisant quotidiennement ses observations, il pense que je suis son sujet de psychanalyse car il est psychologue.
C’est insupportable, et j’ai coupé plusieurs fois les ponts avec lui. Aujourd’hui malgré le mal de vivre que j’ai à cause de lui je continue encore (sans doute parce qu’il me culpabilise et dit que je vais le rendre malade avec « mon comportement), il arrive toujours à me manipuler émotionnellement pour que je garde le contact.
J’ai choisi de couper les ponts en lui expliquant que j’en ai besoin pour des raisons de santé et d’épanouissement et il ne respecte pas mon choix.
Toutes les semaines, je vais avoir le droit à des messages de victimisation « je n’ose plus te contacter, tu ne m’as pas fait signe pendant 10 jours il y a un minimum » etc. Culpabilisation, victimisation toujours le même processus.
La prochaine fois qu’il fait ça je pense que je vais lui claquer en pleine figure et lui annonçait qu’il ne respecte toujours pas mes choix et que je vais devoir prendre des mesures plus radicales, quitte à couper les ponts tout court.
Le problème de ce genre de personnes et qu’ils sont totalement inconscients et inaptes socialement à comprendre ce qu’ils font. Ou alors c’est moi qui suis tellement naif et gentil que je continue de penser que il ne se rend pas compte qu’il me manipule.
Quoi qu’il en soit je ne peux pas vivre avec ce genre de personne sur mon dos, sinon je vais finir par péter les plombs.
En france il y a un gros tabou sur les parents toxiques, car on idéalise toujours les parents et les détester ou les rejeter est synonyme d’être une mauvaise personne.
Ce qui peut provoquer des situations aberrantes où des personnes se sentent malheureuses toute leur vie et dépressive car elles n’osent pas fuir leurs parents toxiques qui détruisent toute leur vie sur le plan sociale, affectif, emotionnel, confiance en soi etc.
Les liens du coeur sont plus importants que les liens du sang, un parent ce n’est jamais qu’une personne, si un ami se comporte très mal à maintes reprises et vous fait du mal, vous prendriez vos distances. En quoi être un parent devrait justifiait que vous n’en preniez pas ?
Méfiez-vous des personnes qui vous culpabilisent et surtout inutile d’en parler à la plupart des gens qui n’ont jamais connu ce problème, car ils vous diront tous « c’est ton père, c’est ta mère » sans avoir aucune idée de ce que vous avez vécu et vivez encore.
Bonjour,
Je confirme effectivement car je le vis également en ce moment, c’est qu’il est très mal vue de tourner le dos socialement parlant à des parents qui pourtant sont toxiques.
Et pourtant mois aussi si je veux vivre et non plus souffrir intérieurement, je dois m’éloigner d’eux …. le sentiment de mal être s’estompe pourtant un petit peu lorsque l’on se projette sans ces parents toxiques dans notre environnement. il faut disparaître à leurs yeux pour arriver à vivre pour soi. J’ai bien constaté aussi qu’il était inutile d’en parler à des personnes qui n’ont pas vécu cette situation. Jusque là j’en voulais beaucoup à mon entourage qui me juge sans comprendre. Maintenant je commence à réaliser que mon entourage ne peut peut etre pas réaliser des choses qu’il ne vivent pas au 1er plan … ils n’ont pas tous les éléments en mains …. moi même je viens jusque à plus de 40 ans de comprendre le mécanisme de fonctionnement des ces parents qui me pourrissent la vie. Mais là oul j’en veux encore à mon entourage c’est dans leur jugement, ils n’ont qu’un son de cloche alors comment peuvent ils juger …. et me mettre de côté …. en quoi est ce une démarche intelligente que de me condamner sans avoir toutes les cartes en mains. Le sentiment de culpabilité que vous évoquez est lourd à gérer car en plus des parents qui génèrent de la douleur, l’entourage avec leur belles phrases viennent accentuer le sentiments d’être la méchante de l’histoire. Notre société doit évoluer sur ce sujet. Je ne comprends d’ailleurs pas pourquoi aucun journaliste n’a traité ce sujet ?
Peut on comprendre que si on en arrive à la situation extrême de couper les ponts ce n’est ni par plaisir, ni pour emmerder qui que se soit mais juste parce que cela devient vitale
Bonjour Charles,
je vous félicite pour cette excellente analyse, je partage tout ce que vous avez écrit, bonne continuation.
Bonjour je voulais savoir si je suis une mère toxique car j’ai vu plus haut que quand on dit tout le temps à son enfant qu’il est beau, intelligent, doué qu’on était une mère toxique moi j’ai vécu avec des parents et des soeurs toxiques et même encore aujourd’hui j’ai été rabaissé, humilié et détruite psychologiquement (dépressive depuis l’âge de 6 ans)alors je complimente tout le temps ma fille pour qu’elle est confiance en elle et surtout parce que je l’aime plus que tout. Donc j’aimerais savoir.
Bonjour,
Je pense que le fait déjà de se poser la question prouve qu’il y a peu de chance que vous soyez toxique.
Moi aussi en récation à mes paretns toxiques qui n’ont jamais su apprécier à sa juste valeur mes efforts, mes réussites mes gestes d’intérêts à leur égard ; par réaction à cette non reconnaissance je fais avec mes prorpes enfants un peu l’excès inverse …. j’en ai pris conscience et du coup je m’auto contrôle sur ce point. mon mari me fait parfois des remarques que j’apprends à utiliser sans me vexer … je sais que s’il me fait une remarque c’est pour être plus objectif dans notre mode d’éduction pour nos enfants. Je ne veux tellement pas que mes enfants soient détruits comme je l’ai été … par mes parents que je surveille tous mes comportements avec eux …. et tout comme vous je leur donne confiance en les encourageants … en les valorisant parce que tout comme vous je les aime et ne veux surtout pas être la même mère qu’à été la mienne …. j’ai lu que nous pouvions tous, étant humain …. être parfois amené à avoir un comportement toxique. je pense que si l’on s’interroge et si l’on se remet en question ou en posant la question à une personne de notre entourage proche qui se devra d’être sincère on ne peut pas devenir toxique
Bonjour! J’ai 18 ans et demi (19 dans 2 mois), je suis fils unique et je n’ai jamais connu mon vrai père. Ma mère m’a eu à 16 ans et elle habitait encore chez ses parents, mais depuis 2002 de mémoire elle a rencontré quelqu’un dont elle est toujours amoureuse, depuis 2007 (j’avais 8 ans) nous sommes partis habiter avec lui. Au début je l’aimait super bien et tout, mais quand j’ai connu que j’allait vivre avec lui je ne voulais pas l’accepter, je pleurait souvent et seul j’ai fini par « accepter », plutot à faire l’habitude parceque je n’me sents pas très heureux malgrès tout. J’étais quelqu’un d’actif, sociable, pétillant à l’école, je ne me laissse pas faire…petit à petit ça a changé parceque Mr.me faisait des remarques « soit plus discret » « ne te fais pas remarquer » « évite de faire rire les autres »… d’autres trucs de ce genre, en gros de fermer ma bouche le plus souvent possible. Ça a même arrivé aux mains (sans doute pour m’éduquer, pour me faire devenir une personne digne de ce nom) car selon lui je suis quelqu’un de difficile, et que ça continuera s’il n’agit pas à temps et bien sur j’ai fini par changer pour tenter d’arranger les choses. Ça a continué comme-ça, parfois ça se passait bien, et parfois depuis 1 ou 2 ans j’ai commencé à me faire entendre pour cesser tout ça. Pourtant je suis quelqu’un de bien, un peu trop réservé, timide et manque de confiance (je me sents pas très bien dans ma peau, peur du jugement des autres) mais je ne bois pas et ne fume pas…Mes parents n’ont jamais eu de problèmes avec moi, mais refusaient que je sorte avec mes amis (que la famille). Mon beau-père me faisait des reproches sur ma famille… A partir de mes 18 ans cette année, j’ai passé mon permis, j’ai ma voiture, je ne travaille pas vraiment (je poursuis mes études). J’ai décidé petit à petit de commencer à construire ma vie étant majeur et vacciné, j’ai voulu également m’inscrire dans une salle de sport pour changer mon physique et la pauvre image que j’ai de moi(je suis maigre…), ainsi avoir la satisfaction de progresser et me sentir mieux. Mais hélas, mes parents m’ont répondu que « NON, pas besoin de machines pour se muscler » mais moi je ne sais rien en matière de sport, je voulais bénéficier d’un coach pour me suivre. Toujours la même réponse, je me suis résigné à faire du sport étant découragé. J’ai commencé à sortir avec mes amis le week-end (la semaine pas le droit de sortir), ils me lancent des messages « ne rentre pas tard! Maxi 23h/23h30, Fais attention, Tu es ou, Tu fais quoi, Avec qui » je ne répondais pas tout et j’arrivais plus tard j’avais droit à « tu ne comprends pas à quelle heure tu dois rentrer?… » mais des fois je rentrais plus tard et ils ne disaient rien le lendemain.
J’ai l’impression d’être oppressé, contrôlé, dirigé en permanence et ça me stresse, ça me dérange. Parfois je m’interdit à sortir et et contacter mes amis, pour déprimer seul dans ma chambre.
Autre chose! comme-ci ça ne suffisais pas: le compagnon de ma mère (mon beau-père) m’a dit que de près ou de loin il me surveillera, il m’aura sous les yeux. Cela signifie qu’il me surveille à chaque fait et geste, quand je sors. Il m’a même dit qu’il connait des gens, qu’il les paye pour lui dire où je suis, et un soir je l’ai vu 1/2 fois à proximité d’un endroit ou j’etais avec mes amis sans que je lui ai dis quoi que ce soit. Il me suis à distance d’après ce qu’il me dit. Je n’ai rien ajouté sur ce qu’il a dit sur le coup, mais par la suite ça m’a bouleversé à tel point de me couper tout envie de sortir.
Je me demande s’il en est conscient de ce qu’il fait. Et d’ailleur c’est lui toujours le premier à me parler de positif, confiance et tout le bazar…mais lui et ma mère n’ont pas confiance en moi, ils ont peur limite ils sont parano et moi je risque de me renfermer encore plus et ne pas pouvoir vivre pleinement ma vie . Je pense que je ne pourrais pas longtemps tenir mon calme. Que me conseillez-vous de faire?
J’ai pris connaissance aussi dans une conversation que ma mère à regardé une lettre (un relevé) de mon compte en banque après l’avoir débouché.
Bonjour, je me retrouve tout à fait dans cet article et les commentaires associés. Mon score : 26/30 !
J’ai 32 ans, 2 enfants et un conjoint. J’ai eu une enfance difficile, où je n’avais pas le droit de m’exprimer. Ma mere, me faisait sans cesse passer l’idée que j’étais grosse, incapable, nulle, moins bien que, jamais au niveau, moyenne partout mais bonne nul part, … Tjs trop mais pas assez ça. Bref, comme vous, je me suis forgee dans la culpabilité et le rejet de moi même.
Je ne suis pas facile à vivre aujourd’hui pour mes proches car perfectionniste, tjs en attente de reconnaissance, jamais contente de moi, avec un moral changeant, j’ai un problème pour chaque solution, je suis complexée, j’ai des tocs, des phobies, des angoisses, je vis à travers le regard des autres, je me fais marcher dessus car je suis trop gentille, de peur de décevoir, … Dans le boulot, c’est pareil, j’ai du mal à me poser et on me reproche mon manque de confiance en moi et de lâché prise.
Je vois une psy qui m’a aidé à mettre le doigt sur mon problème. Et prendre conscience que le soucis n’était pas moi en tant que personne mais les séquelles de mon vécu. Mon frère lui aussi vécu la même chose, et à préféré couper les ponts.
Le soucis, c’est qu’elle recommence mais sur ma fille désormais. Elle la surprotège autant qu’elle la critique. On a déménagé loin, il y a du mieux.
Mais quand on la voit, ça va quelques jours et elle recommence. Si je tente de la contrer, elle crie au scandale et mon père m’engueule car selon lui, je manque de respect !
Encore ce soir, je l’ai surprise à dire que j’étais sale et bordélique, incapable de me gérer… Elle met même son nez dans mes factures pour vérifier mes dépenses ! Et me balancer que je suis un panier percé et que mon conjoint a du mérite de me supporter…
Bref, pas évident.
Courage à tous et toutes, il ne faut pas lâcher. Nous sommes des personnes valables et rien ne justifie leur comportement.
Ohhhh comme je vous comprends
Bonjour,
Personnellement j’ai un père toxique et une mère qui ne dit rien, qui ne réagis pas, qui s’écrase. Depuis maintenant des années, il me rabaisse sans cesse, il me critique énormément, il adore me montrer du doigt devant toute la famille. Il m’a même critiquer devant mon copain qui d’ailleurs à été choqué de ce qu’il a dit. Comme toujours il a visé mon poids alors que je suis normal et ça avec des mot dur. À cause de lui j’ai toujours pensé que j’étais obèse alors que je ne pesais que 65 kilos … Il a aussi critiqué mon physique. Exemple : J’avais 12 ans, nous étions dans un parc avec la famille et d’un coup sans même une seule raison il m’a dit clairement que je ne ressemblais à rien. Mais j’oublie aussi qu’il m’a toujours dit que ma vie serait noir, que je finirais mal, que je n’aurais jamais mon bac, que je ne travail pas assez. Cette année je passe mon bac, et je travaille beaucoup plus (il faut savoir que je suis au cned depuis 3 ans pour raison de phobie social et scolaire , curieux dis donc..). Le programme est très très dur et je dois tout faire toute seule. Je fais ce qu’il me demande de faire, je fais de mon mieux mais rien ne lui va. Les notes ont du mal à suivre et je ne travail pas assez selon lui. Et si le vendredi soir je n’ai pas envoyer deux devoirs (qui sont très long et dur pour ma part) alors je ne sors pas le week end. J’ai 19 ans, bientôt 20 (j’ai redoubler deux fois à cause de harcèlement et de phobie scolaire) et j’ai l’impression d’en avoir encore 15. Et puis j’ai constamment l’impression qu’il me vise moi pour se passer les nerfs ou que c’est toujours de ma faute si il y a un problème. Mon copain a passer 2 semaines avec nous en vacance et il m’a dit qu’il ne comprenais pas pourquoi mon père avait un problème avec moi. Même lui a remarqué… et ce n’est pas finis. J’ai beaucoup de phobie, untu gros manque de confiance en moi et j’ai un toc. Depuis mes 12 ans je suis atteinte de trichotillomanie. J’en souffre encore aujourd’hui. Il c’est toujours servis de mes problème contre moi pour me descendre encore plus bas que terre. Déjà que je culpabilise assez il en rajoute. Puis si seulement c etait tout. Il veut tout contrôler, il ne me fais jamais de compliment (pour les résultats des épreuves anticipées j’ai eu de meilleurs note que mon frère qui a aussi passer ses épreuves l’année dernière. Il l’a félicité le jour même, lui a dit qu’il ne méritait pas ces résultats , qu’il devrait avoir plus… moi j’ai seulement eu le droit à un simple et sec félicitations le lendemain et point) , il a clairement dit que mon couple ne durait pas, en vacance mon ptit frère a souvent dit que beaucoup de garçon me regardais ce que moi je n’ai pas remarqué, et mon père en était… comment dire ? Ça l’énervais clairement et il a dit a ma mère que personne ne lui avait dis que j’étais jolie. Enfin voilà… je veux absolument partir de chez moi, je ne supporte plus mon propre chez moi et malheureusement je n’ai pas de revenus… je suis prête a faire mes bagages et partir et ne plus jamais le voir.
Bonjour, mon cet mes beaux parents qui son ainsi . J’ai compris cela par lectures et recherches interne cet année, car je comprenais pas comment il ce comportait avec mon conjoint. Je ne sais quoi faire il idéalise c est parents au dépriment de nous sa famille. Je suis la mauvaise devant eux. Mon conjoint ne vois rien. Nous avons construit à 100 mètres de leurs demeure quel erreur, il est leurs services, sa mère qui fait la pauvre femme malheureuse de n’être pas avec un homme comme son fils, oufff quel dis! Son père qui le traité de bon à rien et qu’il doit aider son père constamment car serai pas un bon fils. Nous avons voulu déménager l’année passée quel drame sa père perdait son fils, tentative de suicide quel fit, son père ta femme va cacher ta vie, tu arrivera financièrement,du n’aura pas d’emploi et le top arrête tout sa tu n’aura plus jamais la chance d’une autre maison. Que faire maintenant nous sommes entrain de couler financement à cause de mauvais choix et réalisé pas qu’ils faut agir car ces parents dit fils tes problèmes vienne d’elle…reste auprès de nous. Elle et ta fille secondaire, pas grave .
Comment faire pour le faire réagi ou l’ éveiller à couper le cordon de la destruction??
Bonjour,
Je crois que mes parents sont ce qu’on peut appeler des parents toxiques. Le hic, c’est que dans la vie de tous les jours se sont des gentils vraiment chouettes pour pas mal de choses et que du coup je me sens mal de devoir les considérer comme toxiques…
Plus ça va et plus je me sens mal en leur présence, sans forcément que ça soit justifié. Quand je rentre chez moi je me sens comme sale, j’ai besoin de me laver les mains et de respirer de l’air frais pour que ça aille mieux.
Mon père est très gentil, mais c’est quelqu’un qui a besoin de perfection. Il a un jugement assez cru sur tous les gens extérieurs et a du mal a accepter quand on fait des erreurs…
Ma mère quant à elle, c’est tout une histoire… Depuis quelques années elle suit des enseignements pour « s’éveiller » à la spiritualité etc et donne toujours aux gens extérieurs des réponses de type « éclairé ». Mais avec nous elle est différente,extrêmement intrusive, très culpabilisante et exigeante pour tout. Comme elle donne l’impression d’être sage à l’extérieur, je ne peux pas parler de ça avec qui que ce soit (à part mon copain :)), on me répond tout de suite « arrête, ta mère est géniale, tu as de la chance » etc. En vérité, même mon père ne supporte plus cette situation la concernant. Pour moi c’est quelques peu rassurant, ça veut dire que je n’affabule pas.
Mes deux parents ont beaucoup changé ces dernières années, plutôt en bien. Ils s’ouvrent et deviennent plus sages. Ma mère a longtemps été dépressive et mon père vite agressif car fatigué par cette situation quand j’étais plus jeune. Avec mes frère et soeur, on prenait des fessées pour un oui pour un non (toujours « justifiées » selon mes parents), et on n’avait pas le droit au moindre écart. Je me souviens une fois m’être enfermée dans les toilettes. J’avais une dizaine d’années et je ne voulais pas manger de steak haché (je suis aujourd’hui végétarienne). Comme ils m’obligeaient (mon père a essayé de me l’écraser sur la bouche pendant le repas parce que je traînais), je me suis enfermée. Ils n’ont pas supporté que je refuse, mon père a escaladé la façade de notre maison pour casser la vitre et m’obliger à ouvrir. Ma mère attendait de l’autre côté en me disant « ouvre ne t’inquiète pas, on n’est pas fâchés ». Au final c’est mon père qui a ouvert et ma mère m’a mis la fessée de ma vie.
De nombreux moments similaires ont eu lieu, et de nos jours quand j’essaie de leur en parler ils disent ne pas se souvenir. C’est tellement frustrant, parce que je ne suis pas encore passée dessus et que j’aimerais qu’ils s’excusent.
Je les côtoient au quotidien puisque je travaille dans l’entreprise de ma mère, et je sens que quelque chose bloque en moi…
Quelqu’un aurait-il un conseil à me donner ?
Le conseil est de voir ce genre de personnes le moins possible. Moi aussi j’ai ce genre de mère et le dialogue est impossible. Elle juge tout, du coup meme en racontant des détails infimes de ma journée histoire de discuter elle juge: ça c’est pas bon, c’est pas bien, c’est mauvais pour la santé…etc J’ai vécu un enfer de mes 14 à 20 ans et lorsque je revois mes parents cela a souvent un impact sur ma santé (tension artérielle qui monte a 17, coeur qui bat trop vite…)
Il faut essayer de couper les ponts malheureusement.
C’est terrible comme attitude parce qu’on en arrive à avoir peur d’être jugé dans toutes les situations. Je pense que ça vient de là aussi, mais j’ai tendance à commencer toutes mes phrases en m’excusant… Après ça oblige à prendre du recul sur nos vies, nos priorités, notre légitimité etc et dans ce sens on peut trouver du positif.
Mes parents ont beaucoup changé, et malgré leurs travers je sais qu’ils ont toujours eu l’intention de faire au mieux pour moi, du coup je me vois mal les éviter. Mais j’avoue ressentir aussi un impact santé quand je suis avec eux (démangeaisons, mal de tête et énervement), c’est certainement le petit truc qui dit « tu n’as pas encore digéré tout ça » !
Du coup tu t’es complètement éloignée d’eux ?
Moi je vis avec un père toxique depuis 20 ans il m’a toujours rabaissé il s’est toujours moqué de moi il a tout fait pour détruire mon estime de soi et mon amour propre. Heureusement que je suis arrivé a prendre conscience que c’est lui le fautif et pas moi. Il fait tout pour me culpabiliser. Il me veut toujours parfaite et a force de vouloir plaire a tout le monde et de chercher de la reconnaissance a tout prix je suis devenue une séductrice compulsive je le vis très mal et je veux vraiment être heureuse. S’il y en a qui sont dans le même cas que moi manifestez vous s’il vous plait..
Ma petite soeur est pareille… On a un père très exigeant et une mère ultra culpabilisante, mais ça a donné des « travers » différents selon les enfants. Moi je manque de confiance et je culpabilise pour tout (vraiment tout !), ma soeur est dans la séduction permanente et elle ne s’en rend pas encore compte… Je vais essayer d’en parler avec elle, si j’ai des informations intéressantes je te le dirais 🙂
Moi, c’est ma mère qui m’interdit de faire mes propres choix depuis 20 ans. Si quelques chose est cassé, c’est moi. Quand j’avais 15 ans, je n’avais pas le droit de sortir avec des amis. Je dois toujours me justifié, faire ce qu’elle dit. Si non, elle me crit dessus. En CP déja je n’avais pas le droit de parler de mes problèmes familiaux, c’était tellement bien préciser… Elle a toujours raison. Ne commet jamais de faute. Ne s’excuse jamais. Je ne peux même pas choisir mon travail : « Tu as un diplôme de commerce, tu devrais travailler en magasin » elle me prend pas en compte que je m’aime pas ça. La semaine dernière elle m’a dit ton travail la il paye pas ! tu as pas accepter ? Postule plutot la !
Bonjour,
Je me suis reconnue dans ton commentaire.
Je vis avec une mère toxique depuis 26 ans, et à force qu’elle m’ait répété qu’il fallait que je sois parfaite etc…Je suis également devenue une séductrice compulsive et j’en souffre énormément.
J’aimerai bien que l’on puisse échanger en privé si ça te dit?
Bonne journée, et bon courage face à cette dure situation!!
Bonjour Xalton,
Je comprends votre ressenti vis à vis de votre beau père.
Je pense que la place de votre mère dans la relation avec votre beau père est absente. Ce premier point marque un déséquilibre dans la relation de votre famille recomposée.
Vous ne devez pas culpabiliser de votre façon d’agir, de soit disant ressembler aux grands frères et grandes soeurs du côté de votre beau père.
Je pense que votre beau père vous culpabilise aussi de votre capacité à décider de votre vie et de soit disant prendre le chemin de vos grands frères et soeurs , choses qui pour un parent manipulateur est le grain à moudre à son emprise sur vous.
Vous n’êtes pas vos grands frères ou soeurs! Vous êtes Xalton! 🙂
Il vous empêche de prendre votre place d’homme.
Hors vous êtes désormais une personne adulte et de plus vous n’êtes pas son enfant.
Je ne connais pas votre parcours familial mais je vous conseillerai de rencontrer des personnes extérieures à la famille voire même ne pas en parler à votre copine de risque d’intoxiquer votre relation à cause d’un beau père qui « mange » son beau fils.
La solution? Et bien je vous conseillerai de ne pas accepter le travail de votre beau père même s’il vous culpabilise. Ne rentrez pas dans son jeu.Laissez le parler. Il se calmera.
Sortez, et réfléchissez à ce que vous souhaitez faire dans votre vie sans penser à plaire à vos parents.
Marquez sur une feuille vos véritables projets dans une colonne, dans deux autres vos colères, vos joies et ce que vous ressentez à cet instant.
Marquez sur une autre feuille votre jardin secret c’est à dire, les bons moments avec votre copine, ce qu’elle aime en vous… et cachez tout cela dans un endroit où vos parents ne pourront pas s’ingérer.
Dès que vous aurez des doutes dans les moments difficiles revoyez ces feuilles.Marquez sur d’autre l’avancement de vos projets….
Ces petites choses vous feront prendre conscience que vous avez une valeur propre.
Puis partez de chez vos parents. Essayez une colocation avec votre copine ou des amis de fac. Partir à votre âge est une manière de se reconstruire et non un abandon vis à vis de vos parents.
Je pense que le comportement de votre beau père qui est castrateur montre que vous devez vous affirmer seul puis avec le temps la vision de votre beau-père changera. Je le souhaite pour vous.
Je pense que pour le moment, qu’il faut que vous acceptiez aussi vos douleurs, vos impatiences , vos frustrations qui sont juste passagères si vous avez au préalable décider et choisi de sortir de cette emprise.
La vie est un choix. C’est simple à dire mais un choix entraine une manière de se responsabiliser.Chose impensable pour un parent toxique de voir chez son enfant.
Le procédé de culpabilisation d’un parent sur un enfant est une manière de se déresponsabiliser de sa place de parent. Il reporte son irresponsabilité d’agir sur la personne dont il a une emprise.
Il se victimise, fait endosser sur l’enfant son mal être.
Courage…
Bonjour Léa,
Vous n’êtes pas seule!
Vous avez 21 ans et toute votre jeunesse, projets devant vous. Prendre à votre âge des antidépresseurs doivent vous alerter sur votre état de mal être vis à vis de vos parents.
Ne culpabilisez pas. Pour l’instant, votre état n’est pas représentatif de votre véritable caractère. Essayez peu à peu de construire votre intimité en vous rapprochant de personnes extérieurs, de votre âge.Ouvrez-vous en vous mettant des objectifs épanouissants qui sont réalisables à plus ou moins long termes et qui vous permettent de trouver votre indépendance comme par exemple trouver un petit travail qui vous permettrait de faire une colocation avec des jeunes de votre âge.
Sachez vous entourer mais si pour l’instant c,est dur pour vous, acceptez votre état. Dites-vous que souffrir, être triste, est juste passager mais gardez en vous l’espoir de voir la lumière d’une Léa joyeuse, épanouie, pleines de gaités.
Pleurez, être mélancolique, rire, être pas bien pour aucunes raisons , sont des sentiments humains qui vous appartiennent et qui si vous les intégrer dans votre conscience vous permettront de vous faire relativiser sur vos réactions, et grandir de plus en plus.
Vous n’êtes pas une machine, mais une jeune femme avec des émotions, des souhaits.
JE peux vous donner un conseil; Sublimez vos émotions en pratiquant une activité artistique ou en lien avec des animaux.
Si vous avez lu mon histoire en dessous, et bien c’est un combat de toute ma vie jusqu’au décès de mes parents et même après je pense. Ma mère mange mes projets, veut prendre ma place parce que j’ai des qualités dans certains domaines artistiques. Alors je mets de la distance et je me dis que j’ai ma personnalité, mon jardin secret même si ce jardin est en fait mon métier que je dois cacher à ma famille toxique qui me l’envie ( Père, frère et mère).
Que faire? M’interdire de vivre comme j’en ai eu l’expérience jusqu’à mes 27 ans? Non c’est fini.Et pourtant, je garde des séquelles que je tente de guérir mais j’accepte le temps qu’elles se résorbent.
C’est en partant de chez ma mère que j’ai respiré, mais aussi j’ai fait confiance aux bonnes personnes dont une que j’aime et qui m’a aidé à me guérir.
Essayez de refaire confiance aux gens car certains parents toxiques prônent la méfiance de personnes extérieures à la famille qui vous considèrent.Le but de ces parents toxiques est de vous garder et vous enlever votre confiance et liberté d’exister en tant qu’adulte.
Si vous souhaitez parler plus n’hésitez pas. Vous n’êtes pas seule!
Bonjour à tous,
Je suis étudiante bac +3 et j’ai 21 ans.
Je possède moi aussi des parents toxiques et ça me brise le coeur de l’admettre. A supposer que j’en ai un..
Mes parents sont extremement intrusifs et le fait que ma chambre est en face ne me facilite pas la vie.
Trop durs avec moi j’ai du mal à faire face.
Je sors avec un garçon depuis 5 ans maintenant et sachez que cela ne manque pas de me surprendre tous les jours car ma mère ne m’a jamais appris ce qu’était que montrer ses sentiments. Selon elle, pleurer c’est mal, aimer, rire sont des émotions qu’elle cache éperduement.
Aujourd’hui je me sens vide. J’ai fais une dépression majeure qui a fait que je me suis retrouvée sous antidepresseurs en décembre 2016 et comme on ne peut les arreter de si tôt jusqu’à juillet.
Mes parents sont trop culpabilisateurs: « Oh tu vas nous laisser seuls se soir ». Mon père pense que pour que je l’aide avec la nouvelle technologie il faut me payer, cela m’attriste car je ne lui demande jamais rien et le fait qu’il veuille me payer pour des broutilles me sidère. Si je lui demandais je lui en serais redevable car il me culpabiliserai.
Mes relations sociales sont mauvaises qu’on se le dise. Vu que je n’arrives pas à monter ce que je ressens ça ne va pas bien loin. Je suis introvertie et je manque de confiance en moi. Ce que je fais a la maison n’est jamais assez bien, on ne me fait pas confiance non plus. Typiquement j’ai obtenu mon permis en aout dernier et il m’est très difficile de conduire car on me mets des batons dans les roues soit disant que j’ai eu de la « chance » de passer mon permis en aout car il n’y avait pas grand monde sur la route d’ou mon obtention « facile ».
Des anectodes malheureusement je pourrai en faire un roman.
J’ai donc 21 ans, pas d’intimité, pas de libertée, aucune confiance en moi, des relations sociales compliquées voires peu présentes et je suis triste ou blasée je ne sais pas trop. Je ne penses pas rechuter en dépression heureusement pour la simple et bonne raison que je sais ce que ca fait de chuter alors je me changes les idees du mieux que je peux pour éviter le retour de l’horreur. Ca me ferait très plaisir de dialoguer avec ceux qui le souhaitent histoire de se soutenir un peu et dans cette misère faire face pour s’en sortir au mieux et que notre vie n’en patisse pas trop.
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Bon courage à tous et à toutes
Bonsoir,
j’ai 23 ans je commences mon master et j’ai une copine et je pense que mes parents sont toxique pour moi et à cause de ça je risque de perdre ma copine. Mes parents ne sont pas mauvais mais j’ai du mal à m’affirmer sur certaine chose. Mon beau père a un business et la situation financière et d’autres amène au fait qu’il m’utilise pour son travail surtout que je suis le seul qui soit vraiment compétant. Il joue de la psychologie en me faisant culpabiliser par des phrase du style « il faut que je me sacrifie », « si personne ne le fait qui va le faire » et c’est réellement le cas. Ma mère ne m’aide pas, par peur ou que sais je se range de son côté et use des mêmes supercheries. Je ressens cette pression psychologique qui peu à peu me consume. Ma copine ne voit pas en moi un homme qui s’affirme pourtant je parle à mes parents des choses que j’aimes ou pas mais c’est comme si je parlais à un mur. Ce fut le même cas pour mon grand frère et ma grande sœur du coté de mon beau père, les voilà loin d’eux et ils n’ont pas gardé de bonnes relations. J’ai aussi cette peur d’être comparé à eux, d’être vu comme ce que je ne suis pas. J’ai toujours fait ce qu’ils m’ont conseillé, je les aides, je réussis mes études mais je ne suis pas totalement libre de mes choix alors qu’à mon âge je devrais l’être. Je n’arrive pas à sortir de cette situation et je risque de perdre celle que j’aimes. Mon beau père agit en hypocrite envers moi, car il fait comme s’il ne m’oblige à rien mais en utilisant cette pression psychologique et en demandant sûrement à ma mère de venir me parler ça me contraint à suivre leur décision. Puis il y a tant d’autres petites choses que je n’arriverais pas à trouver les mots pour expliquer ma situation. Le truc c’est que ma mère ne prend jamais ma défense et ne m’écoute pas quand j’exprime mon ressentit par rapport à tout ça et je n’arrive pas à parler à mon beau père de peur d’être pris pour un impolis, ingrat ou comparé à ces grands enfants (ceux dont j’ai parlé plus haut). Je suis perdu et j’ai besoin d’aide. S’il vous plait
Bonjour,
Je crois que dans certains cas il faut ne plus donner de nouvelles à ces parents toxiques.
J’ai eu un père toxique qui me battait depuis mes 4 ans et m’humiliait en permanence jusqu’à souhaiter ma mort.
Ma mère a divorcé mais je me suis rendue compte qu’elle avait un comportement toxique avant le divorce et complémentaire à mon père.
Lorsque j’étais jeune je protestais de la violence que mon père avait sur moi, il me jetait de la maison et je devais vivre dehors! Ma mère me culpabilisait du comportement de dire NON à cette violence parce que j’avais un peu de respect pour mon corps pour mon être.
J’ai compris cette toxicité bien plus tard et cela m’a fait un coup de boomerang lors des mon adolescence (quelques années après le divorce de mes parents) lorsque je suis rentrée au lycée , j’ai eu une crise d’angoisse et une peur des gens. Elle me poursuit jusqu’à mes 31 ans où avoir une vie sociale devient un combat avec moi-même ( avoir des relations amicales, surtout rentrer dans le monde du travail…).
Ma mère m’a déjà abandonnée lors du lycée, ne voulant pas voir ma forme de dépression, me rabâchant que moi et mon frère étions des poids dans sa vie, qu’elle subissait sa vie à cause de nous.
Alors matériellement elle essayait de nous apporter le minimum en nous culpabilisant après et soit disant en témoignant que le fait qu’on ne manque de rien était une preuve d’amour.
Je pourrais écrire des lignes sur ce que j’ai vécu et je vis encore de manière plus perfide sa toxicité.
Lorsque je reprenais confiance en moi dans une formation elle me rabaissait devant le formateur.
Elle me copiait sur mes désirs de projets.
Lorsque j’étais joyeuse d’une bonne nouvelle dans ma vie elle émettait aucune joie mais parfois le contraire.
Lorsque je lui offre un cadeau, elle ne porte jamais , ne fait aucun compliment sincère et reprend l’emballage pour vous offrir une chose qui ne vous mets pas en valeur ,puis jette son cadeau de manière à ce que vous vous en rendiez compte. cela blesse lorsque c’est un cadeau fait main.
Lorsque vous essayez de lui montrer une photo de vous que vous trouvez pour la première fois belle, elle met un temps à répondre, bafouille répond de manière dégoutée comme si je lui envoyais une chose hideuse.
Et puis si vous lui dites que vous souffrez elle répondra par le déni, en vous faisant passer pour une menteuse, limite une personne qui a un problème psychiatrique. Vous dira » Tu interprètes, c’est une impression , tu me connais pas ,va voir un médecin » et se victimisera en vous culpabilisant que vous ne la connaissait pas.
Elle reprendra votre douleur qui vient d’elle à son propre compte et la retournera contre vous en vous disant que c’est elle qui souffre de vous.
Elle ne comprendra pas que si vous ne donnez pas de nouvelles que c’est que vous commencez à VIVRE et RESPIREZ et elle croira que vous avez un problème de santé. Car oui exister pour elle c’est être malade car c’est sa seule manière d’avoir une emprise sur vous.
Si vous avez des connaissances elle les remettra en question et même ira vérifier si c’est vrai ce que vous dites.
Elle vous dira que tous les hommes sont des mauvaises personnes alors que vous êtes jeune et que vous n’avez jamais connu quelqu’un.
Si vous sortez avec elle et qu’un jeune homme vous trouve séduisante et qu’elle le remarque, elle vous ridiculisera devant lui pour perdre toute crédibilité.
Elle vous appellera lors de conversations par le prénom de sa sœur rivale au lieu du vôtre.
Elle se mêlera de votre relation amoureuse. Avec des hommes qui ne vous aiment pas elle les invitera ,les hébergera parce que pour elle vous êtes en échec, cette relation ne durera pas. Mais si vous avez rencontré un homme qui vous aime, elle vous bannira, mettra la zizanie dans votre couple, se mêlera de votre conduite , limite vous bannira de sa vie en vous expulsant de chez elle.
Par contre au niveau de son autorité elle sera déséquilibrée et injustifiée vis à vis du frère. Trop sur vous, laxiste sur lui. Une impression d’injustice grandira en vous et qu’elle essaiera de mater.
Elle se fera devin et vous dira soit disant que vous aurez un garçon parce qu’elle souhaiterait un petit fils.
Si vous reprenez confiance et que vous avez un professionnel qui croit en vous, et que vous devez honorer une commande à faire pour celui-ci, elle se mettra à vous faire passer pour une amatrice, à ne pas honorer dans les temps celle-ci, remettra tout en cause votre travail avec un sentiment de culpabilité .Et vous serez dans l’échec. Elle adulera le travail de votre copine ou d’une concurrente mais jamais le vôtre.
Si vous lui dites de garder un secret elle ne le fera pas et pire devant la personne dont vous cachez ce secret elle lui dira devant vous.
Elle ne trouvera pas normal que vous ne vous confiez pas à elle et que d’une manière vous vous rebelliez. Elle vous parlera péjorativement » ca va tu as pas de soucis » comme une causette, pauvre et qui ne doit pas être heureuse dans sa vie sans l’approbation de sa maman démoniaque!
Cela me fait du mal car c’est ma mère mais j’ai tout essayé ( vos conseils, d’être patiente , de dire non…) il n’y a pas d’espoir qu’elle change parce qu’elle veut pas se remettre en question et joue sur le déni. Alors la seule solution est de ne plus donner de nouvelles de soi à cette personne.
J’avais même essayé de parler de recettes de cuisine pour garder un lien avec elle mais même cela elle vous le détruit.
Je vous avoue, je suis passée par la colère , la haine, l’envie qu’elle disparaisse physiquement de ma vie , elle et ma famille qui m’ont fait beaucoup de mal et dont j’ai encore des séquelles.
Elle est tarée, folle , en fait c’est une pauvre femme frustrée dans sa vie et vous fait payer cette frustration.
Cela me peine car elle a vécu d’une certaine manière cela avec ses parents, n’en a tiré aucune leçons et a reproduit un schéma destructeur et fataliste.
Je vous raconte mon histoire n’essayant pas de me victimiser mais de vous raconter mon témoignage et vous dire vous n’êtes pas seul(e). Chacun vit d’une certaine manière un moment dans sa vie des relations toxiques mais elles deviennent insidieuses et très douloureuses lorsqu’elles émanent de ses proches , de sa filiation. Alors dites vous, on a pas choisit ses parents, mais on peut choisir de ne plus en subir le jou car on a qu’une vie. Si vous êtes dans l’échec , vous donnez raison à ces gens malades et frustrés qui d’une certaine manière ne vous aiment pas. Parfois on va dans leur sens pour leur faire payer ce qu’ils nous ont fait alors au final on se perd soi-même, on se détruit et pire on devient comme eux, aigris.
Bonjour,
je me retrouve dans à peu prés tout ce que tu as dis, c’est incroyable.
Au final, j’aurais voulu savoir, as tu coupé les ponts avec ta mère?
J’en suis à un point de non retour, sachant que moi ce sont mes deux parents qui sont un problème, et voyant qu’ils ne changeront jamais et étant pire en vieillissant je me dis que c’est trop tard, qu’il faut que je m’éloigne, vraiment.
J’ai ma fille au milieu, et elle ose dire des trucs comme « ta mère est con » à ma fille…. qui n’a que 3 ans !!
Merci de vos réponses
Bonjour et surout merci ….
enfin quelqu’un qui peut comprendre. Merci d’avoir écrit vous n’êtes pas seul(e).
Moi aussi je passe par la colère, l’envie qu’ils disparaissent …. je ne veux pas tout comme vous me faire passer pour une victime mais je souhaiterai juste que ce statut soit plus mis au grand jour que l’on puisse enfin pouvoir dire : oui parfois il est légitime de rompre même avec des parents. Il est clair que je me demande aussi comment je vais colmater toutes mes séquelles … comment je vais me reconstruire …. moi aussi je ne comprends pas alors que mes 2 parents ont subi eux aussi des parents toxiques … je ne comprends pas qu’ils aient pu reproduire à leur tour ce schéma de maltraitance psychologique. je leur en veux beaucoup et le pire c’est qu’il n’y a pas de justice jamais ils ne sauront à quel point ils m’ont fait du mal ….. puisqu’ils se font passer pour les malheureux ….. alors que j’ai essayé de leur apporter satisfaction …. et qu’ils n’ont jamais su le voir ….
Bonjour j’ai 16 ans et je vis avec ma mère manipulatrice . Depuis petite, j ai du mal à m’affirmer, à prendre ma place et à me mettre en colère. J’ai constamment peur du jugement des autres et j’essaye de plaire à tout le monde cela parfois en ne me respectant pas. Et j’ai aussi du mal à nouer des relations avec les autres. J’ai vraiment peur de devenir comme ma mère mais je ne sais pas quoi faire pour me protéger et pour éviter cela surtout que parfois je me reconnais dans certains des ses moyens de culpabiliser les autres.
Bonjour,
Ma mere est toxique depuis que je suis petite et meme encore a lheure actuelle (jai 30 ans) cest invivable. Je ne vis pas chez elle mais elle me culpabilise choisi a qui je dois parler ou non, me fait un chantage permanent toujours en utilisant mes propres enfants (je ne compte plus les signalement abusif de sa part). Jai appris recemment que jetais malade, et depuis 3 jours elle ne cesse de menvoyer des sms du style : » tu vas bientot mourir ah ah ah » je l’ignore j’ai l’habitude de sa mechancete mais malgre tout le mal quelle me fait je lui pardonne tout. Cest a croire que jai besoin de cette relation aussi toxique soit elle. Et dire quelle me dit mais tu as besoin de tes parents, jme demande bien pourquoi faire. Durant mon enfance jai ete battue humiliée etc… Jai ete placée en foyer et depuis que je suis adulte elle raconte que si jai ete placé c pcq jetais une enfant difficile remettant ainsi la faute sur moi. Je lui en veux de tout ce quelle ma fait.
Votre mère a fait une grave erreur avec le sms » » tu vas bientot mourir ah ah ah »
Faites les constatés par la police ou encore par un huissier.
Cela pourrait bien calmer votre mère car elle se montrerait sous son vrai visage devant témoins .
Bon courage
Une manipulatrice répondra au sujet de ce sms : mais je plaisantais, j’essayais de dédramatiser de te remonter le moral, il faut me pardonner ma maladresse !
et le pire… tout le monde préférera la croire, parce que la société du mal à admettre qu’un parent puisse mal se comporter avec son enfant.
(source : expérience personnelle)
bonjour je suis une adulte de 34 ans, j’habite encore chez mes parents je n’ ai toujours pas de contrat en cdi , ni petit copain et dernierement ma mère m’ a affirmée un jour ou l’ on s »étaient disputées me surveiller pour mon bien , j’ ai perdue tout mes amis et a quand j’ ai un petit ami et que je lui en fait part je me suis rendue compte que ca cassais , idem par rapport au travail , pensez vous que j’ ai des parents toxiques ou pas ?
Bonjour,
ton message m a interpellée parce que j ai 33 ans et suis dans une situation similaire, j essaie sans cesse d y arriver et suis polluée par mes relations familiales compliquées. J ai déjà essayé de partir mais mes démarches n ont pas aboutie.Aujourd’hui j ai une demande de logement en cours et je le garde pour moi.Je mets en place les choses sans en parler, c est ma façon de prendre mes distances. Parfois ça peut aussi aider de parler à une personne extérieure, un professionnel de façon à ne pas se sentir redevable.